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Rencontre salvatrice?

Nathaniel Eliseum
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Nathaniel Eliseum
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Mer 2 Sep - 11:08


Rencontre salvatrice ?



Feat Yukinaga





J'étais dans mon lit, réveillé par la lueur du soleil filtrant par les grandes baie vitrées. J'accrochais mon draps autour de ma taille et me dirigeais vers la salle de bain. Pénétrant dans la salle de bain la plus proche.

Je n'avais pas les idées claires à cause cette soirée où je n’avais presque pas dormi et o j'avais beaucoup bu. L'eau brulante... Je soupirai un grand coup et appuyais ma main contre le mur. Ça faisait tellement de bien...

Une fois sortie de la douche, choses habituelles... On s'habille... Un débardeur noir qui montrait assez bien mes muscles même si ce n'était pas le but et un jean's troué. Je passais devant la cuisine et eu un haut le cœur en m’imaginant mangé quelque chose...

Je sortis après avoir mis mes lunettes pour qu'on me reconnaissent moins. Une fois dehors je regardais le soleil en souriant avant d'ouvrir le garage et de monte dans ma voiture. Direction la grade ville pour faire un tour dans le parc.

Je roulais doucement la musique à fond pour ne pas penser, je n'en avais pas envie. Les chansons n'étaient pas du même style, je pouvais passer du rap au rock ou encore à l'indus et le métal. Sas queue ni tête voilà tout... Voilà aussi ce que j'étais...

Je me garais dans un parking sous terrain et me dirigeais doc vers le parc où j'étais toujours tranquil. Je posais ma sacoche sur le banc, seul et sans bruit... Je laissais ma tête aller en arrière pour regarder le ciel. Aucun nuage, juste un ciel bleu..

C'est alors que j'entendais un bruit... Que je ne connaissais que trop bien... Le bruit de coup de poings... Je regardai autour de moi et vis quelques mètres plus loin deux hommes en train de taper un jeune homme de ce que je pouvais en voir...

J'arrivais vers l'un des hommes et lui fis béquille pour le mettre au sol mais le second pris la relève du premier et me mis un coup de poings dans la figure ce qui m’assomma quelque peu. Je passais ma mai dans mes cheveux et me mis à rire.

♠ C'est tout ce que t'as das le ventre ?


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Mer 2 Sep - 17:15
Intimement. Profondément. Intensément.
En fait il n'existait pas de mots pour exprimer avec assez de force l'aversion que Yukinaga Oda ressentait actuellement pour l'action qu'il répétait à longueur de journée. Par delà le bruit, la chaleur, la douleur, l'agitation qui raisonnait dans sa cette, par delà  lui-même : le jeune homme abhorrait l'écriture.  Il détestait le bruit du stylo sur le papier, le claquement des touches de l'ordinateur ou encore la vision des caractères qui noircissaient peu à peu les pages.  Il haïssait – si le mot était assez fort – la façon dont les mots , les phrases prenaient possession de son corps, de sa tête et en vérité  il détestait l'odeur du papier mêlée à celle de l'encre fraîche.

Véritablement. Intiment. Intensément. Profondément.
Yukinaga avait toutes ces choses là en horreur.

Pourtant le jeune auteur ne se plaignait pas. Il ne se plaignait jamais. Ni des migraines terribles qui le paralysaient,  ni du fait qu'il détestait son métier, non plus de la fatigue  et toujours pas du manque de relations sociales. En fait il était principalement aussi silencieux que les meubles dont il avait la sensation de faire partie. Il ne savait pas quand il avait commencé à se sentir étranger dans sa propre maison. Mais c'était le cas.

Profondément. Intensément. Intimement. Douloureusement.

Est-ce que les autres gens, ceux qui étaient vivants, ceux qu'il voyait passer par la fenêtre parfois et qu'il entendait rire se sentaient de cette façon ? Est-ce qu'ils vivaient eux même de quelque chose qu'ils détestaient se sentaient si seul , étrangers dans leurs propres familles ?

Il carra la mâchoire , son regard se voilà. Un grognement presque animal monta dans sa gorge et se transforma en cris de rage.

En colère.
Fou de rage.
Ivre.

Il renversa la table basse sur laquelle il travaillait éparpillant les feuilles et l'encre sur le sol et puis comme il n'était toujours pas calmé il entreprit de briser tout ce qui était susceptible de l’être dans cette pièce. Les vases, les pots, les miroirs ...tout ...tout. Tout ce qui était à sa portée renversant les meubles, les chaises  et les étagères...et sa rage si grande, si folle  se transforma en une profonde détresse quand il se blessa sur un morceau de vase brisé. Il y avait quelque chose de mélancolique dans cet instant. Suspendu.

Il y avait le désordre violent qui régnait dans cette pièce habituellement aseptisée.
Il y avait l'agitation du personnel de maison  dans cette même pièce mais il n'entendait rien concentré sur le « ploc, ploc » répétitif de son sang et de ses larmes sur la porcelaine.  Presque poétique.

« – Jeune maître vous êtes calmés ? »

Mais Yukinaga ne répondit pas, absorbé par le vide si calme qui s'était installé dans son cœur.  Il tourna les talons et quitta la salle comme si rien était arrivé. Ses zori son kimono bleu indigo et son haori noir. Pas coiffé à peine propre en fait, il était sorti de chez lui profitant de l'attention qui se portait ailleurs.

Comme un fantôme dans les rues ;  des rues qu'il ne connaissait même pas a vrai dire, il ne se souvenait  même plus de comment il en était arrivées là ni même du moment ou les choses avaient dérapé.

Mais c'était indéniablement arrivé.
Dans ce parc.
Au cœur de la ville.

Il y avait ces deux hommes, jeunes peut-être autant que lui. Peut-être moins.
Mais ils étaient vulgaires et Yukinaga n'avait pas pu s'empêcher de le leur dire. Et naturellement ils n'avaient pas apprécié. Ils lui avaient sauté à la gorge avant même qu'il n'aie le temps de comprendre ce qu'il se produisait. Enfin c'était peut-être son état d'esprit sa crise de tout à l'heure ou encore l'effet de ses médicaments , mais il lui semblât qu'il vivait la scène sans vraiment la vivre. Comme à travers un voile. Il n'avait pas vraiment mal, il n'arrivait pas à se rendre compte et son cerveau était trop embourbé pour cela.

Et puis cette escalade de violence s'était détournée de lui.
Il lui avait fallu plusieurs secondes pour comprendre la raison mais même après qu'il l'ai fait, il n'avait pas bougé. Pas parlé.
Seulement regardé l'autre type. Avec ses cheveux de feu.
C'était comme dans un rêve et il était incapable de bouger. De parler.
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Nathaniel Eliseum
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Nathaniel Eliseum
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Jeu 3 Sep - 9:58


Rencontre salvatrice ?



Feat Caleb & Louka





Je l'attrapais et lui mis un coup de pieds dans le ventre avant de lui foutre un coup de tête. Ce qui me valu un bon mal de crâne... Mais la personne pensait avoir ccompris et partait en titubant, se tenant la tête. Quant à l'autre ? Il s'était tout simplement relever et me regardais...

Quoi t'en veux une nouvelle couche... Comme ton ami ?

Sur ces mots le jeune homme grimaça et partit en courant, je regardais alors le jeune homme qui me disait vaguement quelque chose. Je lui tendis la main en souriant .

Ne t'en fais pas tu es en sécurité, je ne te ferai pas de mal...

Je l'aidais à se relever puis j'eus une illumination...

Mais bien sûr ! J'ai déjà vu ton visage derrière l'un de tes romans ! Tu es Yukinaga Oda cest bien ça ?

Je souris de plus belle... Il était mon écrivain préféré et nous devions adapter u de ses bouquin u cinéma...

Je suis ravi de faire ta connaissance, j'adore tes bouquins !

Suite à ça je me rendis compte que j'avais mal à la lèvre que j'avais mal à la lèvre et m'essuyais pour être sûr... Effectivement elle était entaillée, ma maquilleuse allait encore m'engueuler même si elle avait l'habitude...

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Lun 7 Sep - 18:04
« – Tu saignes. »
C'était la seule chose qu'il avait été en mesure de répondre cependant qu'il se questionnait quand à la marche à suivre. Pouvait-il réellement se fier à ce sourire ? Pouvait-il seulement prendre cette main ? Est-ce qu'il devrai donner quelque chose en échange ? Pourquoi est-ce que cet homme lui venait en aide ? Est ce que ce n'était pas un genre de coutume que de laisser chacun à ses problèmes ? C'était comme cela en tout cas qu'il avait toujours vu agir les gens qu'il se plaisait à observer dans le silence.

Préférant éviter un contact qui n'était pas strictement nécessaire, il fit le choix de ne pas prendre la main mais de se relever seul sans quitter des yeux son vis-à-vis. Il avait des yeux verts, pas aussi bridés que les siens et quelque part ça l'intrigua.   Il n'ouvrit pas la bouche dans un premier temps intrigué par la couleur de ses yeux. Intense mais panaché. Translucide mais remplis d'une couleur soutenue. Comme si il y avait un monde en dedans des montagnes  et des pleines à pertes de vue, des volcans plein d'une lave froide ...mais tellement vivants !

Quelle était cette couleur déjà ? Il y avait un mot pour cela ; un mot précis qui s'accordait parfaitement à cette leur entre foret et lichen, cette texture de pierre-monde. Pierre précieuse. Grenat ? Tourmaline ?...non moins jaunâtre. Jade ? Émeraude ?

« – Saphir. Saphir vert. Ce sont des saphirs vert. »

En vérité il était à peut près sur que cette réponse n'était pas du tout celle que son locuteur attendait , mais il n'était pas encore capable de se concentrer sur les questions qu'ils lui posaient. Il était bien plus intéressé par le contraste étonnant du sang sur sa peau blanche ou encore du trône de pierre précieuse qui régnait sur son visage. C'était presque malsain , peut-être même totalement obscène. Il ne savait pas expliquer en quoi, mais il avait l'impression qu'un par-terre de neige avait été souillé d'incarnat. Il était peut-être encore plus malsain qu'il trouva cela totalement fascinant, et d'une profonde beauté.  Cette inexplicable beauté, ce charme farouche et inextricable , morbide qui attisait son esprit .  Cet amour étrange qu'avaient les artistes pour la mort et sa fascinante et parfaite froideur.  

Comme une muse figée dans une éternelle jeunesse.
Un sein de pierre.

Ravi de le rencontrer.  Qui pouvait bien être capable de cela ?  Son visage à l'arrière d'un de ses romans …?il ne comprenait pas vraiment. Il se trompait peut-être de personne ? Mais il l'avait bien identifié, il avait bien demandé s'il était Yukinaga Oda et ça c'était bel et bien lui. La constatation qu'un étranger le connaissait visiblement le terrorisa plus que de raison et il fit un pas en arrière. Avec méfiance mais les yeux toujours absorbés par ce visage, fin mais défini , taillé dans le marbre blanc et d'une troublante symétrie.  Étonnante symétrie.   En fait c'était presque trompeur parce que l'instinct de Yukinaga s'apaisa brutalement comme si il était capable de sentir que cet homme aussi physiquement remarquable qu'il semblait l'être ne lui ferai certainement pas de mal.

Il s'inclina légèrement pour le saluer, pas certain de ce qu'il devait faire maintenant qu'ils étaient face à face ;  il pencha la tête sans jamais quitter son visage des yeux.

«  – Je ...Oui, c'est mon nom. Yukinaga Oda. Pour vous servir, c'est la première fois que je rencontre quelqu'un qui à lu un de mes livres ... »

Et c'était la vérité , il ignorait (partiellement en tout cas) le succès dont il avait été à l'origine.  Son attention se porta une nouvelle fois sur le visage tuméfié de son sauveur. Il pointa son indexe dans sa direction.

«  – Est-ce que cela fait très mal ? Il y à une  pharmacie juste à côté.  Vous avez un visage incroyable , il ne faut pas y laisser de vilaines cicatrices. »

Il avait dit sans gène avec cette franchise un peu brutale des gens de bonne éducation. Mais il était le premier surpris de cette drôle de rencontre ; comment quelqu'un aurait-il seulement pu le reconnaître lui ?

Il se pinça.
Pour vérifier que ce n'était pas une autre des ses hallucinations.
Mais rien ne changea, il était éveillé.
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Nathaniel Eliseum
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Jeu 24 Sep - 15:29


Rencontre salvatrice



Feat Yukinaga





Il se releva sans prêter attention à ma main tendue, je la laissais donc retomber le long de mon corps. J'étais vraiment ravi de le connaître... Mais lui ? Nous n'avions jamais pu avoir de dédicace de lui... Il semblait tellement timide sur sa photo... Et en vrai ? C'était encore plus flagrant...

« – Saphir. Saphir vert. Ce sont des saphirs vert. »

Je me demandais bien de quoi il pouvait parler quand je vis qu'il regardait mes yeux. Je souris mais ne dis rien c'est alors qu'il prit de nouveau la parole alors que j'étais perdu dans mes pensées... Mais.. Cela ne me dérangeait pas, il avait une voix très attirante, douce, calme....

«  – Je ...Oui, c'est mon nom. Yukinaga Oda. Pour vous servir, c'est la première fois que je rencontre quelqu'un qui à lu un de mes livres ... »

Je souris de nouveau Il ne semblait pas savoir que ses livres étaient connus dans tout le Japon et pour être honnête ? Cela m'attendrissait... Il ne pouvait donc pas avoir la grosse tête, c'était mieux ainsi... Cela dit s'il ignorait son succès c'était pour une drôle de raison...

Je réfléchis... Qu'est ce qu'un artiste comme lui pouvait faire, en dehors de l'écriture, pour qu'il ne connaisse pas son succès ? Je me posais la quesion mille fois avant d'abandonner, après tout je n'allais pas lui demander... Cela aurait été incorrecte de ma part...

«  – Est-ce que cela fait très mal ? Il y à une  pharmacie juste à côté.  Vous avez un visage incroyable , il ne faut pas y laisser de vilaines cicatrices. »

Lors de sa dernière phrase j'haussais un sourcil. Un visage incroyable ? Cela me mit en joie de l'entendre dire cela de moi... Il y avait dans ses paroles, dans son ton de voix qui marquait qu'il ne mentait pas... Tellement innocent... Tel un enfant … Je souris en le regardant.

Non ne t'en fais pas pour moi, je n'ai pas mal. Mais toi ? Tu es sûr de ne rien avoir hein ?




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Ven 9 Oct - 18:00
C'était étrange de se voir considéré de cette façon. Étrange et , en vérité, presque terrifiant. Il n'y avait jamais réfléchis, sans doutes parce qu'il l'avait toujours vécu mais son anonymat total avait toujours été un bouclier entre lui et la société.  Personne ne le connaissait, il n'était personne et – de fait – personne ne l'approchais. Le fait d'être invisible le réconfortait. Car peut importait combien il l'aurai voulu ou combien il pouvait fuir sa demeure pour visiter le monde extérieur, Oda Yukinaga n'était pas prêt à l'affronter. Le fait d'errer comme un fantôme parmi ces êtres de chair et de sang avait toujours été suffisant, conciliant. Ne pas leur parler, ne pas les aborder, ne pas les laisser approcher. Seulement les regarder agir.  Le fait que cet homme le reconnaisse et aie seulement eut accès à une partie aussi intime de sa vie que ses livres, qu'il soit là pour en parler était quelque chose de presque violent. C'était comme si pour la première fois depuis des années (trop d'années) quelqu'un s'approchait seulement un peu de l'humain qui existait sous cette carapace aliénée par la médication. Comme si cet inconnu qu'il ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam s'approchait tout à coup trop près de son cœur battant et il senti que peut-être même il pourrait le briser entre ses mains.

Il avait de grandes mains. Des doigts longs, fins mais il pensait qu'ils étaient solides, fort. La partie de lui qui était irrémissiblement intriguée par la mort et sa douce torpeur pensa que sans doutes ils pourraient faire le tour complet de sa gorge et la casser.  Il sonda un moment leurs couleurs de peau, la façon dont le rouge incandescents des cheveux de son locuteur tranchait avec la noirceur des siens d'une franche férocité.

Féroce.

Peut-être était-ce encore, le reste de cet acte d'une grande fureur qui avait été perpétré quelques minutes plus tôt et dont Yukinaga ne parvenait à se défaire, mais il avait sensation que tout chez l'autre homme respirait une grande bestialité. Peut-être la couleur inhabituelle de ses yeux , la façon dont ses cheveux présentaient, sa stature qui n'était pas endémique. Il n'arrivait pas à mettre le doigt sur ce sentiment étrange qui était en train de prendre racine  en lui.

Il y avait tant de bruit autour, tellement en fait que ses tympans en étaient irrités ; harassé de lassitude et mordu d'une brutale fascination. Il semblait que dans l'atmosphère surchauffée, frémissante, se préparait une soudaine et  effroyable catastrophe, une explosion qui allait rendre l'air plus respirable et plus pur, qui libérerai un parc apaisé de tout ce bruit exaspérant, de cette angoisse déprimante...mais cela demeurait une espérance vaine , une espérance en laquelle se complaisait perpétuellement Yukinaga dans son rêve éternel d'affranchissement. Quatre sirènes de police s’égrainèrent, sonore et il du revenir à la réalité.  Il était toujours positionné à mi distance de son inconnu les yeux rivé sur ce visage qui paraissait étrangement et douloureusement ravi de le connaître.  Il ne pouvait pas fuir et il n'était pas sur qu'il avait envie d’offenser cette créature étonnamment pacifique à son encontre.  Personne n'était jamais si bienveillant dans son entourage.

« – Je ne peux pas sentir la douleur. »

Il avait répondu très simplement à propos de son état de santé. Il était tellement assommé par ses médicaments que son cerveau n'était plus capable d'enregistrer cette dernière. Ou dans de si rares occasion qui les saisissait avec une ardeur qui était parfois dangereuse pour ses jours. Certaine des cicatrices qui ornaient son ventre, ses cuisses ou ses bras en étaient les marques indélébiles.  Non, il n'avait pas mal, mais il était encore choqué. Il sentait le sang battre avec force contre son arcade gauche et le coté droit de sa mâchoire, il y avait un goût de fer dans sa bouche, il enregistra aussi machinalement une gène au niveau de ses côtes. Avec une froide efficacité clinique. Il n'avait pas grand choses, seulement de larges ecchymoses.

« – Je crois que l'on devrai véritablement désinfecter votre plaie. Ça laissera une cicatrice, il ne faut pas. Je ne veux pas. »

Je ne veux pas.
Il ne savait pas bien ce qu'il  voyait en ce visage si atypique. Presque aristocratique. Exotiques en un sens. Mais il savait qu'une partie de lui – celle qui murmurait insidieusement des choses obscènes à son oreille, même quand il tentait de l'ignorer – ne lui pardonnerai jamais d'avoir laissé la moindre marque dessus. Il fit quelques pas hésitant en direction de la pharmacie qu'il avait désignée plus tôt, comme pour encourager son locuteur à le suivre.

« – Je ne sais pas qui vous êtes, je peux connaître votre nom ? Vous ne devriez pas vous interposer comme cela, c'est dangereux et si vous étiez vraiment blessé une prochaine fois? »
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Nathaniel Eliseum
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Lun 12 Oct - 11:30


Rencontre salvatrice ?



Feat Yukinaga







« – Je ne peux pas sentir la douleur. »

*J'haussais u sourcil suite à sa phrase. Pourquoi ne pouvait-il pas sentir la douleur ? Il y avait bien deux raisons. Deux raisons qui ne me plaisaient pas... Soit il était drogué à quelques drogues durent illégal soit elle étaient légal...

Les médicaments... Je ne supportais pas cela... Et il fallait des doses de cheval pour ne pas ressentir de douleur... Je me rappelle lorsque j'étais dans un hopital psychatrique... Deux ans... Deux ans de souffrir... Abrutis par mes médicaments qui m'ôtait ma conscience, ma douleur, ma capacité à réfléchir...

J'étais tout simplement devenu un zombie... Otez la capacité à un homme de réfléchir et vous aurez un parfait toutou prêt à servir à tout... Je me mordis la lèvre et sentis ce goût ferreux dans ma bouche. C'est alors que Yukinaga me sorti de mes pensées.

« – Je crois que l'on devrai véritablement désinfecter votre plaie. Ça laissera une cicatrice, il ne faut pas. Je ne veux pas. »

Je ne veux pas... Pourquoi ça ? Je fis mine de rien mais c'était plus fort que moi Pourquoi avoir dit ça alors qu'il ne me connaissait pas ?

Il ne veut connaissait pas... Je souris à cette pensée. Cela me faisait tellement du bien... C'était rare qu'une personne e me connaissait pas et au moins, ave lui, je pense que je n'aurai pas à m'en faire mais... Un jour... Si je devais le revoir il faudrait bien que je le dise non ? Ce serait un mensonge si je e lui disais pas...

Je le suivais alors qu'il me posait une question quii me mis mal à l'aise... Lui dire mon prénom... Peut être l'avait-il déjà entendu ? Non s'il ne connaissait pas mon visage il ne connaitrait pas mon nom non plus...

Je.. Je m'appelle Nathaniel, Nahaniel Eliseum... Tu peux me tutoyer... Je e suis permis de le faire pour moi... Mais si cela te gèe je peux te vouvoyer de nouveau...

Je continuais ensuite de marcher, regardant Yukinaga... Lui aussi devrait se faire soigner... je me mis à ses côtés.

Toi aussi il faut te soigner... Et... Ne t'en fais pas j'ai l'habitude de ma battre, ma maquilleuse à toujours su me cacher mes cicatrices...

Qu'avais donc dit ? Je m'étais trahis tout seul... A moins qu'il n'y fasse pas attention... Je l'espérai...


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Jeu 15 Oct - 15:32
« – Nat ...Nathanieru ? Nathanieru Elisseoum? C'est compliqué »

Il avait conscience d'écorcher son nom, mais son esprit s'attardait à traiter tellement d'autres détails qu'il n'avait pas le temps de s'en soucier réellement. Ou pas l'envie, en tout cas : il ne le faisait pas. Plus ou moins volontairement. Une partie de lui était curieuse de la façon dont il vivait. Les japonais étaient relativement hostile avec les étrangers qui s'installaient sur le territoire, surtout avec ceux qui réussissaient. Enfin c'était le cas d e sa famille, l'avait été , dans le passé maintenant il ne lui restait que sa grand-mère dans un institut médicaliser et les propos racistes de sa mère. Mais Ami était trop lâche pour être médisante devant les concernés.

Cependant cette xénophobie latente restait un état de fait au japon et même si elle n'était pas aussi violente chez eux que dans d'autres pays elle n'en demeurait pas moins présente. Nathaniel avec son nom, son apparence .. n'était-il pas la victime de ce système ? Baisse des salaires, rythmes trop cadencés ...mis à l'écart , épié …

Yukinaga ne posa pas la question et se contenta de le fixer. Intensément , de ses yeux noirs comme s'il pouvait de cette manière percer son mystère. Comme s'il le transcendait pas cette action. On eût presque dit qu'il le réduisait mentalement au symbole algébrique de lui même séparant ses atomes pour mieux le transperce et mieux appréhender dans sa complétude et son étrange stature ; comme s'il pouvait analyser le moindre des ses gênes, la moindre petite parcelle de son histoire.

Puis, aussi rapidement qu'il avait commencé à le dévisager, il se détourna de lui. Peut-être avait-il trouvé ce qu'il cherchait pendant ce laps de temps ou peut-être simplement que ça ne l'intéressait plus. Il répéta seulement son nom encore et encore dans sa tête comment pour s’entraîner à le dire ou le graver dans sa mémoire. Lui-même n'en était pas certain. Pas que cela ait une réelle importance. Rien n'était jamais véritablement important pour lui. Rien. C'était seulement l'un de ces moments hors du temps mais dont il prenait vite mesure de l’irréalité.

Ses livres , son atelier étaient sa réalité. Le monde extérieur dans lequel il s'échappait de temps en temps était ce monde des rêves, chaotique des dé-complété dont ses médicaments lui refusaient l'accès dans son sommeil. Il ne se souvenait pas de la dernière fois qu'il avait rêvé et en vérité il ne se souvenait pas de la dernière fois qu'il avait bien dormi, les cernes sous ses yeux pouvaient témoigner, la nuit précédente il avait été trop absorbé par la rédaction de son prochain roman ( le même qu'il avait envoyé au feu le matin même) et la nuit précédente ..oh la nuit précédente avait été horrible. Elles avaient murmuré à son oreille pendant toute la nuit et il en avait pleuré. Vraiment pleuré. Il avait fini par se réfugier dans sa pièce d'écriture, en pleine lumière alors même qu'il détestait cette dernière. Mais pour la première fois il s'y était senti en liberté. Il avait passé le reste de la nuit à les supplier de se taire avant de trouver un sommeil agité sur le coup des cinq heures du matin. À six heures le psychiatre était venu lui rendre visite.

Ils avaient seulement poursuivit leur chemin vers la pharmacie. Parce que c'était le but que Yukinaga s'était fixé et qu'il n'aurai pas accepté de s'en détourner. Il avait besoin d'un objectif précis pour continuer à faire corps avec cette réalité qui n'était pas la sienne, il le savait alors il se concentrer sur le peut d'emprise qu'il pouvait avoir sur les événements.

« – Est-ce que l'on fait souvent des photos de toi ou quelque chose comme cela ? Ce n'est pas important ce n'est pas une raison. Se battre c'est relativement nocif.

Il s'approcha lentement du comptoir de la pharmacie et formula très clairement sa demande avant d'abandonner sur le bar deux ou trois billet – il n'était pas sur – qui auraient sans doutes pu couvrir trois ou quatre fois ses frais mais Yukinaga n'avait aucune idée de la valeur de l'argent. Il était trop brouillon , trop perdu avec ces choses là, comme un enfant parce qu'on ne lui avait jamais vraiment appris et puis il était sortit, mécaniquement avant de se tourner vers son locuteur et de lui indiquer le banc le plus proche l'invitant à s'y installer.

« – Si je te fais mal dis-le. C'est la première fois que je fais cela. Mais c'est bien expliquer sur la notice, ne t'inquiète pas. »

Il avait déplié et désigner le papier en question pour le lui montrer en signe de preuve alors qu'il sortait le coton tige et le désinfectant pour en appliquer sur la plaie avec une grande douceur.
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Jeu 15 Oct - 16:57


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Feat Yukinaga






« – Nat ...Nathanieru ? Nathanieru Elisseoum? C'est compliqué »

Je souris lorsqu'il me dit que mon nom et prénom était difficile. C'est vrai que pour un japonais cela devait être dur de le prononcer... C'est alors que je le vis me fixer. J'en avais 'habitude mais le fait que ce soit mon auteur préféré qui le fasse me mit... Mal à l'aise ?

Je ne saurai définir pourquoi cela me mettait dans cet état mais j'avais l'impression que ma tête tournait... Pourtant je n'allais pas me faire de malaise... Je n'avais rien fait pour, alors.. Peut être était-ce... Lui... Tout simplement...

Je le regardais alors qu'il se mit en route, je le suivais sans dire un mot. Je ne savais pas du tout quoi lui dire. C'est alors qu'il me sortit de mes pensées avec cette voix si douce... Cette voix auquel je prenais goût mais que je n'entendrais qu'une seule fois dans ma vie surement...

« – Est-ce que l'on fait souvent des photos de toi ou quelque chose comme cela ? Ce n'est pas important ce n'est pas une raison. Se battre c'est relativement nocif.

Je le regardais et cela me fit sourire... Devais-je être franc ou lui mentir ? Non il ne m'avait pas reconnu lorsqu'il m'avait vu je pouvais donc lui dire que cela ne lui fasse ni chaud ni froid et c'est ce que j'aimais...

Nous avions marché jusqu'à la pharmacie et je le regardais toujours je n'arrivais pas à détacher mes yeux de son corps, du visage que j'avais vu juste auparavant alors qu'il me tournait le dos pour reprendre sa marche...

Une fois le matériel acheté nous ressortions pour revenir dans le parc et nous installer sur un banc proche de la pharmacie et du parc.

« – Si je te fais mal dis-le. C'est la première fois que je fais cela. Mais c'est bien expliquer sur la notice, ne t'inquiète pas. »

Je le vis me montrer la notice puis il commença à me soigner. Je me rendis alors compte que je n'avais pas répondu à sa question juste avant. Il devait s'en foutre mais peu importe, je voulais être franc avec lui.

Je... Je suis acteur... Donc on me prend souvent en photo...

Je soupirai... Les paparazzis... Ce que je pouvais haïr ces gens là... Yukinaga ne semblait pas avoir ce problème étant donné que les gens ne connaissaient qu'une seule photo de lui... Un mystère des plus attirant je dois l'admettre mais aussi, bien pratique...

En effet au moins il ne risquait pas de se faire accoster à chaque bout de rue... Il avait bien de la chance... Pourtant il était très connu ! Mais je suppose qu'on ne voit pas souvent la tête des auteurs, comparé aux acteurs bien evidemment...

Nous allons adapter un film sur un de vos romans... Je tenais à ce que vous le sachiez...



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Jeu 29 Oct - 19:19
« Je suis acteur, alors on me prend souvent en photo. »

Cette phrase raisonna un moment dans la tête de Yukinaga, comme s'il se trouvait instinctivement incapable d'en comprendre le sens. Quand il parlait d'acteur, il supposait seulement qu'il ne s'agissait pas de théâtre comme il avait pu en voir quelques fois avant que sa grand-mère ne soit envoyé dans un centre spécialisé. Pas l'une de ses maison de retraite où tout un chacun pouvais entasser les vieux membres de sa famille , mais dans une résidence privée ou l'on enfermait les ancêtres dans de grandes demeures individuelles. En fait il était même sur que ce n'était pas le cas parce qu'il n'avait clairement pas le physique adéquat pour jouer ce genre de pièces de la traditions japonaise. Ce n'était pas un tors, au contraire, il appréciait cette espèce d'exotisme qui émanait de ce Nathaniel dont il ne connaissait rien d'autre que le nom et la profession qu'il se représenté tourné vers cette forme de cinéma occidental qu'il n'avait jamais eût l'occasion de regarder.

Il ne commenta pas, plissa les yeux et s'appliqua à tapoter le coton imbibé de désinfectant sur la plaie de son locuteur. Il s'attarda sur celle qui saignait le plus avant de s'attaquer aux autres plus superficielles et de chercher dans le sachet les pansements cicatrisant.des petits strips couleur chair qui, il supposait, étaient sensés paraître invisible. Le résultat n'était néanmoins pas aussi efficace qu'il l'aurait pensé. L'autre homme ne se plaignait pas alors il supposa qu'il était suffisamment délicat pour que ça ne soit pas douloureux.

Sa main, celle qui était libre, se leva pour se poser audacieusement sur les cheveux rouges de son interlocuteur. Pour sentir leur texture, se rendre compte de leur épaisseur ou savoir s'ils étaient soyeux. En tout cas, ils sentaient bon. Un parfum pour homme, sans doutes d'une de ces grandes marques qu'on pouvait voir sur les panneaux lumineux dans la rue de temps à autres. Après quelques secondes il retira sa main, sans ajouter un mot. Il ne chercha ni à s'en excuser, ni à s'en justifier. C'était fait. Seulement fait et il n'y avait pas à revenir dessus.

Il rangea la pince et le coton, dans un sachet vide pour les jeter et la bouteille de désinfectant retourna dans sa boite en carton, il la tendis d’ailleurs à l'acteur jugeant qu'il en aurait plus besoin que lui.

« – Oh, c'est aussi la première fois que je rencontre un acteur. Vous passez à la télévision, parfois ? Ou dans des salles comme des cinéma? »

Naïvement.
Il hésita un moment avant de reprendre la parole, il n'était pas certain de ce qu'il devait dire, encore moins certain de sa capacité à dire quelque chose d'intéressant pour Nathaniel. Ses pensées dérivèrent encore une fois sur les rayon du soleil qui découpaient l'air en une myriade de couleur. Il pensa aussi à ce que devaient être les salles de cinéma et à toutes les histoires qui devaient avoir lieux dedans, en plus de celles qu'on y projetait.

« – Je ne suis jamais allé au cinéma et je ne possède pas de téléviseur alors ...je ne m'y connaît pas très bien. »

Il avoua finalement avant de se reconcentrer sur les mots du jeune homme. Il ne devait être bien plus vieux que lui mais son expérience personnelle lui donnait un air plus dur, plus vrai et tellement plus vivant que Yukinaga se sentait comme une simple copine – profondément insipide – d'un être humain.

Comme une contre-façon. Une hérésie quelque chose qui n'aurait jamais du se trouver là. Une partie de son être lui hurlait de s'éloigner, parce que s'il restait en contact avec son vis-à-vis alors il allait être happé dans un monde qu'il ne connaissait pas. Un mode réellement vivant et bourdonnant et il cesserai d'être étranger à lui même, étranger à la vie, à la vie de la ville et à cette humanité qui grouillait autour de lui et dont il s'excluait volontairement. L'autre partie elle, le suppliait de s'y attacher, de s'y accrocher et de découvrir ce monde qui lui tendait les bras, cesser d'être une hombre, pâle copie d'humanité, observateur éternel d'un phénomène biologique étranger.

« – Nous allons adapter un film , sur un de vos roman, je tenais à ce que vous le sachiez ... »

Plus que la reconnaissance, ou encore l'incrédulité qui auraient du le frapper face à cette révélation, ce fut une profonde désolation qui s'empara du jeune auteur. Un sentiment qui passa au dessus du fait qu'il était à ses yeux inenvisageable qu'on adapte un livre écrit par un romancier fou et inconnu. Quelque chose qui le transcenda en fait. L'idée qu'on rende publique quelque chose d'aussi profondément intime et dérangé, d'aussi secret et trivial que sa propre prison, ses propres épanchements littéraires.

« – Je ,...j'en suis profondément désolé ? Je n'en savais rien je...vraiment désolé. »

Il chercha en vain à se reprendre , à focaliser son esprit sur un autre impératif, mais il n'y parvenait pas. Sans doutes parce qu'il était si loin de se douter de la critique avec laquelle ses ouvrages avaient été accueillis ou encore de sa récente nomination au rang de « trésor culturel vivant » , l'engouement qu'ils suscitaient et même l'encre qu'ils faisaient couler.

« – Je peux demander lequel ? Vous jouerez dedans ? »

il se massa les temps et se boucha les oreilles. Elles recommençaient à susurrer des choses à son oreille, le stress de la situation ayant finalement brisé la barrière invisible entre eux.
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Nathaniel Eliseum
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Jeu 12 Nov - 13:43


Rencontre salvatrice



Feat Yukinaga






Lorsqu'il me caressa le cuir chevelu je fermais les yeux et soufflais de bien être... J'étais très sensible à ce point précis... Il fait ensuite de me soigner et je rouvris les yeux pour le regarder aller à la poubelle.

« – Je ,...j'en suis profondément désolé ? Je n'en savais rien je...vraiment désolé. »



Je rigolais doucement en secouant la tête de droite à gauche. Pourquoi s'excusait-il au juste ? Après tout c'était moi qui avait choisi cette adaptation . Je le regardais de nouveau et lui souris en inclinant la tête sur le côté.

Ne sois ps désolé voyons... C'est moi qui voulais l'adapter ….

Je regardais dans le vague un instant avant de lui répondre m’allumant une cigarette.

Je  joue le rôle de « héros » dans l'Idiote

J'aspirai sur ma clope m'addosant contre le dossier du banc... C'est alors que je vis Yuki se masser les tempes et se boucher les oreilles. Je ne savais pas ce qui se passait mis je 'inquiétais réellement pour lui... Pourquoi ? Je n'en avais pas la moindre idée...

Et si cela était grave ? Je me levais et m’accroupis ensuite devant Yuki et le regardais l'air inquiet...

Yuki ça va ?

Au diable les formules de politesse... Je m'iquiétais bien trop pour lui alors pars passons au dessus, non ?

Codage par Amétrine sur Epicode
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