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[ Pv : Ashe Dheus'Oh & Mayoko Nanimo ]

Anonymous




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Mar 2 Juin - 12:51
Il y a des choses qui changent et d'autre non, certaines personnes aiment la simplicité et d'autre leur petites habitudes, Mayoko faisait partie de cette catégorie là, il aimait ces habitudes, il aimait particulièrement ce bar toujours remplie avec toujours les mêmes personnes. Certaines viennent se détendre après une longue journée de boulot, d'autre pour rencontrer de nouvelles têtes, le jeune homme travaillait chaque soir dans ce bar pour 300 malheureux yens part soir, mais il aimait ça, il aimait effleuré les touches de son piano installé sur une petite estrade dans un coin de la pièce, il aimait voir les gens détendus à chacun de ces passages.

Ce soir - là, Mayoko jouait une de ces nouvelles compositions, une composition douce et calme, le patron du bar aimait beaucoup le jeune homme ,car ce dernier arrivait à détendre l'atmosphère assez chaude de l'ambiance sous l'alcool de certaines personnes.

Jouant les yeux fermé pour la concentration, Mayoko était ailleurs, complètement transporté par la beauté des sons de l'instrument, avec le temps le garçon était devenu un vrai professionnel, avant il jouait des morceaux calmes et amoureux ,mais désormais il était devenu plus sensible.

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Mar 2 Juin - 15:06

Ses prunelles noires s’étaient accoutumées à l’obscurité de son foyer, tandis que ses membres avaient perdu de leur vigueur d’entant. Des bras et des jambes devenus  chétifs par désœuvrement, une peau  lactescente : Ashe n’était plus tout à fait le grand gaillard qu’il était jadis. Plus proche d’un spectre que d’un être vivant, il se meut avec lenteur sous la lumière évanescente. Il apprécie néanmoins les volutes de fumée, rythmé par les bruits discrets de la circulation sur le grand boulevard en face de chez lui, si bien calé sur son canapé. Il ne voit pas bien dans quel chaos il vit, et se contente de savourer sa énième bouffée. Les clopes. Une délicieuse saloperie : bien trop dangereuse et pourtant toujours consommée.  Soupir. Son appartement s’est imprégné des effluves de tabac et d’alcools, de moisissure et d’une douce odeur de renfermé. Marcher du salon à la cuisine relèvait d’un jeu de Twister, il n’avait plus la foi de tout nettoyer.

Et puis pourquoi faire ? Qui viendrait voir ce cadavre vivant à présent ?

Il réunit pourtant les dernières forces qu’il lui reste. Il. FAUT. SORTIR. Maintenant. Où sinon sa carcasse entrera en stade de décomposition, si ce n’était pas déjà fait. Il ne sait pas encore où aller, sans doute qu’il se posera dans un bar, cherchant encore le courage de vivre après quelques verres de rhum ou de vodka. Il déteste la vodka, il ne sait pas tout à fait pourquoi il continue à en consommer. Passage en salle de bain. Douche. Froide. Puis triste constat.

Mon dieu, mais qui est cette chose sur le miroir ?

Il caresse ses cernes immenses, ses cheveux en désordre. Tente de sauver le peu d’élégance qui lui reste, avant de s’habiller. Il est 21h34. Ses pieds foulent enfin le trottoir de son immeuble. Le froid lui mord déjà la peau, pourtant, il ne tremble pas. Il va bien. Il va mieux du moins. Son dos se redresse, il respire une grande bouffée d’air frais, se joue de son souffle qui se mue en vapeur, puis secoue la tête.

Bon, où allons-nous ?

Part là peut-être ? Ses pas prennent des directions hasardeuses, tantôt à droite, tantôt à gauche. Il se laisse guider par la clarté aveuglante des lampadaires. Noël s’installe dans les boutiques, les avenues, sur les arbres ou les poteaux. Et Ashe prend le temps d’apprécier vraiment la candeur que lui inspire ce tableau. Les réminiscences du passé accompagnent la poésie de ce spectacle, pourtant, certains souvenirs lui laissent un goût amer.  Son attention est captée par les insignes d’un bar. Parfait. Il entre sans se poser plus de questions : le gèle détruit ses doigts, de toute manière.

Il prend place sur la chaise la plus reculée du comptoir, et demande un verre. Son esprit se perd à travers les conversations tapageuses des clients. Il discerne néanmoins clairement la mélodie du piano, près de lui. C’est doux et emplie d’espoir. Les notes s’accrochent au cœur comme un baume, apaise les doutes, et accompagne l’alcool comme une caresse. Une caresse qui en deviendrait presque familière. Alors il se retourne, après son quatrième verre : c’était peut-être la plus grossière erreur de son existence.

Oh.

Toi.


Mon dieu, quelle coïncidence, mais QUELLE COÏNCIDENCE. Il voulait rire. De ces rires nerveux qui ne présageaient généralement rien de bon.  Mais sa mâchoire se crispe. Son regard ne s’était plus décroché du pianiste, de CE **** de pianiste, dont il connaissait le corps et l’âme par cœur : Mayako. Qu’il était beau, qu’il était classe. Ses doigts agiles dansent avec les touches, il semble en transe. Les yeux fermés, il offre ses talents à ce public ingrat et ignorant. Deux ans de silence ? Peut-être plus ? Voilà longtemps qu’il était parti réaliser ses rêves. Et à quel prix, hein ? A quel prix ?! Connard.

L’alcool et les nerfs ne font pas bon ménage. Vertige. Il fonce aux toilettes,  se cale contre le lavabo, et respire. Pro.fon.dé.ment. Pendant que son estomac se joue de lui.  Pendant qu’il se maudit. Le fossé entre lui et son ex devient peu à peu une évidence. Le beau pianiste, au destin tout tracé, et au vécu si reluisant. Ambitieux, talentueux, élégant.

Et Ashe, présent dans sa vie comme une tâche immonde sur un vêtement.

Seigneur, pourquoi ? Pourquoi tant de haine ? Il voulait disparaitre. Dommage : le destin en voulait autrement…
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Mer 3 Juin - 6:15
Quand Mayoko jouait plus rien autour de lui était important, il continuait d'effleuré les touches blanches et noires de ce magnifique piano, un piano antique sûrement pris dans un grenier quelque-conte, Pourtant, parti depuis une quinzaine de minute dans les sons qu'il jouait, Mayoko a eu un frisson, un frisson qu'il connaissait très bien, sont radars à emmerde.

Le radars à emmerde c'était ce petit frisson qui parcourait le long de son dos lorsque quelque chose ce produisait, quand ce petit frisson était présent, le jeune homme était sur à 100 % qu'une merde allait ce passé, voilà, désormais il était plus sur de sa mélodie, il ouvrit alors délicatement ses yeux verts scintillant et ce pinça les lèvres, il ne devait pas ce loupé mais, pourtant le frisson était toujours là.

Il n'avait pas le droit de tourné la tête, même pas cinq secondes, il voulait faire aucune erreur, pourtant son doigt dérapa et la note sortie était fausse, heureusement que la moitié des personnes étaient bourré, grâce à ce mauvais mouvement, il tourna la tête vers son public trop occupé à boire ou a discuté, il chercha dans la salle la personne ou la chose qui pouvait activer sont radars à emmerde. Il fronça les sourcils, il voyait personne dans la salle, même pas une connaissance alors pourquoi ce maudit frisson ne partait pas ?
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Mer 3 Juin - 7:56

Putain de nausées. De ceux qui vous attache au lavabo sans pour autant vous débarrasser de ce qui vous remue allègrement l'estomac. Lancinant, possessif, ce mal être ne vous lâche pas et lance son assaut quand l’esprit divague. Son attention retourne sur le miroir en face de lui. Il est en piteux état, et ça se voit. Contact. Ses phalanges glissent sur sa joue d’albâtre, comme pour constater l’étendu des dégâts. Son autre main s’agrippait à son ventre, se promettant de ne plus jamais boire, oubliant ce serment tout de suite après.

Grognement.

L’idéal serait de pouvoir partir maintenant, et en toute discrétion, et sans payer si possible. Parce-que là tout de suite, ça l’obligeait à retourner près du comptoir, et donc près de Lui. Il se retourne, tente quelques pas vers la sortie des toilettes. Il ne tient pas tout à fait sur ses jambes, et les nausées s’acharnent de plus bel.  Retour au lavabo.

Que croyais-tu Ashe ? Que ça se passerait comme tu l’avais programmé ?

Otage de la loi de Murphy depuis le jour où il est né, il n’espérait même plus un retournement favorable de la situation.  Son dos se cale à une des portes des WCs, derrière lui, puis glisse doucement vers le sol : Il s’assoie, respire, appréhende la suite. Ses doigts tremblants cherchent frénétiquement le téléphone dans une de ses poches. Se n’est qu’après quelques appels infructueux  à des contacts pris au hasard qu’il se rappela que : son opérateur lui avait bloqué les appels pour facture impayée, que de toute manière il n’y avait pas de réseau ici, et que pour finir, il n’avait pas d’amis.

Rire.

Il avait envie de se tirer une balle.


Doigt d’honneur au plafond, à ses anges gardiens qui ne faisaient pas vraiment leur taff. Il ne craignait plus vraiment les foudres du Seigneur, à ce stade de la soirée. A part attendre que ça aille mieux, il ne lui restait pas vraiment d’autres alternatives. Coup d’œil à son porte monnaie. Il n’avait même pas assez pour payer sa consommation. Il ne manquerait plus que l'Autre se ramène ici. Soupir agacé. Oh God... why ?


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Mer 3 Juin - 8:28
Le frisson toujours présent, impossible pour Mayoko de retourner derrière le piano, son concentration c'est envolé, Le jeune homme ce pinça les lèvres, peut être qu'il se trompait, comme chaque chose, parfois un court circuit etc. Mais le radars a emmerde ce trompait rarement voir jamais.

Mayoko jeta un dernier coup d'oeil à la salle avant de descendre les marches, il devait vérifier dans tous les coins de ce fichu bar avant que sa tête explose et qu'il fini dans un asile pour fou.

- Qu'est -ce que tu fiche ?! demanda le patron du bar en empoignant le poignet de Mayoko

Ce dernier surpris ce retourna vers l'homme d'une quarantaine d'année, les sourcils froncés et un regard froid, comme il l'avait quand les consommateurs ne payait pas.

- Je dois aller aux toilettes, tu veux m’accompagnè pour vérifier la couleur de ma merde ? Répondit sèchement le jeune pianiste en ce dégageant.

Mayoko était déjà parti lorsque le patron jura toutes les insultes qui pouvaient avoir sur la planète. Le jeune homme ce racla la gorge, bien sûr qu'il avait oublié les toilettes, il posa sa main contre la porte et la poussa délicatement et s'il ne voulait pas savoir ? Et si Mayoko faisait une grosse connerie en voulant savoir à tout prix qui avait déclenché le radars ?

Sa mère ? Non, une de ces soeurs ? Sûrement pas, le bar est interdit au mineur, un de ses amis ? Il en avait pas , du moins pas de son âge. Il rentra alors dans les toilettes pour les hommes et ferma la porte avec son pied lorsque les frissons disparus il compris réellement dans quel merde il c'était foutu, ses yeux fixa un objectif devant lui, un homme avachi contre les WC, cet homme moitié bourré qu'il connaissait bien trop.

- Merde.
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Mer 3 Juin - 11:11


- Merde.
- Ça tu peux le dire.

Il ne se donne même plus la peine de se retourner, histoire de parfaitement identifier cette belle tignasse blonde. Encaisser son regard emplis de mépris, et le mépris de son estomac envers la vodka, il ne pouvait pas. Non. Les souvenirs, les regrets, la honte et l’ivresse. Tout se bouscule en un maelström cacophonique dans sa caboche bien trop fragile. Alors ? Par quoi on commence ? Bonjours May’, heeeh ça fait longtemps ! Et bien alors tu deviens quoi ? T’as eu ce que tu voulais là bas ? Non. Il n’arrive même plus à faire semblant. Putain. Putain d’alcool, putain de mauvaise idée.

Si seulement il pouvait de nouveau arborer ce minois qui s’en fout, qui s’en fout éperdument de savoir s’Il a pu trouver son bonheur ailleurs. De toute manière, c’était une évidence. Mais au lieu de ça, il réprimera ses tremblements, son malaise naissant et son complexe d’infériorité. Assis et impuissant, il laisse le silence parler en son nom.  En attendant, il pouvait toujours faire mine d’essayer de se relever.

Au moins essayer.

Il se redresse, maladroitement, tenant à peine sur ses deux pieds. Il le sait, il le sent, dans quelques minutes, il va gerber. Ses prunelles d’ébène font face aux iris émeraude. Son regard se voulait accusateur, mais la faiblesse lui donne des yeux vitreux, inexpressifs. Sa seule envie était de fuir.

- Je crois que ton public t’attend…

Ou encore : Casse-toi, laisse-moi en paix, cordialement. Mais Mayako est un homme bien, heh. Laisser un attardé dans un tel état ? Trrèèèès peu pour Mayako. Alors il va sans doute vouloir l’aider et… et discuter. Discuter du bon vieux temps – Comme si c’était le moment  – pour aussi régler un peu ses comptes. Ashe prie, pour que le Canada lui ait appris à être méchant, et à laisser son prochain mourir  – avec un peu de dignité.

Nausée.

Il se précipite sur la cuvette la plus proche, et vomit son désespoir avec  la distinction des plus grandes.  Ashe, à genoux devant la cuvette, sale et malade. Et puis Lui, foutu comme un prince, qui doit surement rire de tant de misère. Le Jour et la Nuit. Deux êtres diamétralement opposés, comment ont-ils fait pour se supporter ?

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Mer 3 Juin - 11:41
De tous les ex que Mayoko il fallait qu'il tombe sur lui, le seul qu'il ne voulait pas voir. Le pianiste soupira, il avait vu des hommes complètement bourré, il glissa ces deux mains dans ces poches et resta planté là, a regardé sont ex petit ami gerbé tout ce qu'il avait dans l'estomac et ça le faisait bien rire aux fonds de lui.

- Normalement les gens qui ne tiennent pas l'alcool ne boit pas, après je dit ça, je ne dis rien.

Il décida donc de bouger vers le lavabo pour se laver les mains tout en fixant le jeune homme à travers la glace, ça faisait combien de temps qu'il l'avait pas vu ? Mayoko voulait l'oublier rapidement pour passer à autre chose comme il le faisait avec les autres, mais lui, ça fait seulement un mois qu'il était revenu du Canada, d'ailleurs il voulait rester là -bas encore pendant un an pour l'oublier proprement, mais il pensait qu'il était assez fort pour faire le deuil, à croire que non finalement.

- Mon radar à emmerde a encore raison, tu sais qu'à cause de toi j'ai loupé mon morceaux ?

Il se retourna et ce posa contre le lavabo et croisa les bras contre son torse. Même si Ashe était très mal en point, il ne savait pas s'il devait l'aider ou bien le laissé pourrir là. Le jeune homme était complètement paumé, il pouvait faire demi-tours la maintenant et continué sa vie mais, tout en le fixant, agonisé part terre, tous les souvenirs qu'il pensais enfui quelque part très très loin dans sa mémoire refont surfaces, leur amour, leur disputent, leur réconciliation passionnelle et mouvementé.

Le jeune homme passa une main dans ses cheveux avec un rictus.

- Sombre idiot.
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Mer 3 Juin - 17:04

Ashe n’a jamais fait dans la demi-mesure. Autant sobre, il pouvait être d’un calme implacable et d’un je-m’en-foutisme plus que contrariant. Mais ivre…

- Ne t’ fourvoie pas. C’est ta présence qui me donne la nausée.

Retour à la cuvette pour tout vider. Les crampes persistent, la tête lui tourne. Appuyé contre le mur, il se relève aussitôt, essuyant d’un revers de main ses lèvres, le dos tourné à son interlocuteur. Le passé tendre de deux amoureux s’efface peu à peu, comme une pensée fugace, et laisse place à la rancœur, le dégout, et l’humiliation. Sa respiration haletante raisonne, interrompu de temps en temps par quelques toussotements. Il sent encore tout le dédain et l’amusement de Mayako, et si l’ivresse ne le maintenait pas cloué au mur, et bien…

Et bien quoi ? Tu l’aurais frappé ? Quelle blague…



- Ohhh…  Pauvre enfant.

Demi-tour, face à ce regard olivâtre. Il s’approche, à pas de prédateur. Son expression de honte et de faiblesse face au fossé qui les séparent ne semble plus qu’un souvenir. Désormais son visage affiche ce que le peuple pense symboliser, une arrogance teintée d’une animosité morbide.  Ses lèvres s’étirent en un rictus meurtrier. Il devient l’allégorie même de l’insolence. Murmure douceâtre, mélodieuse, colère tacite, maquillée en un fac-similé de sourire hypocrite : l’ambiance s’assombrit.

- Tu sais ce que j’ai loupé, moi ?

Ceux qui refusaient de croire en l’existence même d’un karma malfaisant ne connaissaient pas Ashe. Ashe qui maitrisait si bien cet art, en se jouant allégrement des apparences. Ses doigts diaphanes caressent doucement, presque sensuellement, cette joue familière,  pendant que son corps s’approche, encore, en une proximité qui se veut intime. Murmure au creux de l’oreille.

- Je t’ai manqué au moins… ?

Une main s’égare, glisse pernicieusement jusqu’à la poche arrière du pantalon de son vis-à-vis, et…

Hop.

Il recule. Un portefeuille – qui n’est pas le sien – dans sa main droite. Il fouille, y sort quelques yens, avant d'être repris par son propriétaire.

- Je n’ai pas assez d’sous pour payer mes verres, disons que tu m’invites… Pour les retrouvailles ! Alllllez tchuss, pauv' naze.

Rire con. Le voilà qui file déjà en titubant vers la sortie des toilettes.

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Mer 3 Juin - 19:54
" Je t'ai manqué au moins ?"

Il n'avait pas le droit de demander ce genre de choses alors qu'il avait lui même la réponse, Mayoko sera fortement les poings et ce retourna pour agripper sévèrement le bras de Ashe et le poussé en arrière pour qu'il évite de franchir la porte.

- En plus d'être un vrai salaud tu es un voleur ? Je ne savais pas que tu étais tombé aussi bas cracha t'-il en fusillant Ashe du regard.

Mensonge, le jeune homme s'en foutait complètement de son portefeuille, mais il ne voulait paraître faible devant personne même pas Ashe.

- Je ne savais pas que tu étais si romantique Ashe ... dommage que tu pue de la gueule mon vieux.

Mayoko lui arracha le portefeuille des mains en grimaçant puis le glissa dans sa poche arrière ou était ça place depuis le début.

- Ashe ... toi qui es sensé si bien me connaître, tu devrais éviter de trop me chercher dit-'il en lâchant délicatement le bras du jeune homme.
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