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La vie, c'est une partie de poker. Tout dépend des cartes que tu as en mains !

Anonymous




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Dim 29 Mar - 18:25

    J'observe les rues qui défilent tranquillement, installé sur le siège arrière de la voiture. La nuit est à peine tombée, le quartier bondé. Ce qui n'a rien d'étonnant pour un samedi soir. Les gens sortent, seuls, en famille ou entre amis, pour prendre un peu de bon temps et profiter aisément de leur week-end. Ce qui est également mon cas. Après avoir passé la journée à me lézarder chez moi, je me suis dit qu'une petite sortie ne serait pas du luxe.

    Nous roulons encore quelques temps avant que le taxi ne s'arrête finalement devant l'entrée du casino. Je remercie brièvement le chauffeur, le paye et ne m'attarde pas davantage. La voiture redémarre presque aussitôt après que j'ai refermé la portière. Un simple coup d’œil aux alentours me fait vite comprendre que l'intérieur est déjà bien rempli. Le parking semble plein et les gens s'affairent à l'entrée. Certains sont sortis prendre l'air ou fumer une cigarette, d'autres patientent près de la porte alors que la file d'attente semble s'allonger au fil des minutes. J'accélère un peu le pas et me retrouve à côté d'un groupe de quatre personnes qui discutent assez bruyamment. Au bout d 'une dizaine de minutes, je parviens finalement à entrer à mon tour et jette un rapide coup d’œil à ma  tenue, pour m'assurer d'être présentable. Je défroisse ma chemise d'un geste machinal, histoire de me donner bonne conscience. J'ai même enfilé un pantalon en toile – puisqu'ils n'acceptent pas les jeans, ni les baskets ! – pour l'occasion. On me laisse finalement accéder aux salles de jeux après que j'ai présenté mes papiers.

    Comme je m'en doutais, le casino est tellement plein qu'à certains endroits – notamment du côté des machines à sous – on se marcherait presque dessus. Je parviens néanmoins à me frayer un chemins jusqu'aux tables de poker sans trop de difficultés. La pièce semble être un peu plus au calme, bien que trois des tables soient déjà totalement occupées. Je m'arrête un instant à la caisse pour échanger ma monnaie contre des jetons avant de rejoindre la quatrième table, occupée par cinq joueurs. Je m'installe en essayant de faire le moins de bruit possible pour ne pas les déranger pendant leur partie. Puis je me contente de les observer.

    Une joueuse. Quatre joueurs. La femme doit être à peine plus âgées que moi, alors que le plus jeune des hommes de la table doit avoir au moins dix ans de plus que nous. Une femme, joliment vêtue, se tient debout à côté de l'un d'entre eux. Mon attention est rapidement détournée par le début d'une nouvelle manche, à laquelle je peux enfin me joindre. Je jette un coup d’œil à mon jeu après qu'on ai distribué les cartes. Une six de trèfle et un quatre de pique. Ça commence mal. L'un des joueurs relance immédiatement et je me couche aussitôt qu'arrive mon tour de parler. Même pas la peine de payer pour voir le flop. Quelques parties s'enchaînent avant que je ne finisse par toucher un jeu. Ma paire de valets est malheureusement balayée par un brelan de sept.

    Un serveur nous propose régulièrement à boire, je finis par prendre un verre de liqueur de umé, que je m'applique à boire le plus lentement possible pour éviter d'avoir à me resservir un verre trop rapidement. Impossible de jouer sérieusement si mon esprit est trop embrumé par l'alcool. Je ne bois pas beaucoup de toutes façons, j'aime avoir les idées claires et n'apprécie pas tellement cette façon qu'a l'alcool de nous désinhiber de toutes choses. Je trouve ça même assez dégradant, à vrai dire.

    Tapis.

    Je hausse un sourcil, surpris. La jeune femme pose l'intégralité de ses jetons. Le flop est à peine sortit : dix de cœur, roi de pique et roi de cœur. J'ai une paire de dix. Est-ce qu'elle bluff ? Ça sent le brelan. Je préfère me coucher. Mon voisin la suit par contre. Ils dévoilent leurs cartes : As et huit de cœur, il est sur sa couleur. Quand à la femme … j'arbore une mine surprise en posant les yeux sur sa paire de rois servie. Aucun suspens quoi. Merci, au revoir, vous pouvez remballer. L'homme à ma gauche semble plutôt contrarié, même s'il ne pipe mot. Je crois que je serais vert aussi à sa place. Il quitte la table presque trop rapidement. La partie se poursuit. Et ce n'est que le début de la soirée.
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Dim 29 Mar - 19:36
Le soleil se couche enfin et la journée touche à sa fin. La journée de Masaki fut longue et pénible il avait eu tout le long de la journée ces baka d'interne. Qui serais perdu sans lui, il faut dire qu'il est là pour leur apprendre, et il accepte bien entendu c'est son métier. Mais, il ne supporter pas se répétais sans cesse et aujourd'hui il n'a pas arrêter. A croire qu'ils le faisaient exprès ou alors, c'était la fatigue. Dans un long soupire, Masaki se dirigea vers le parking puis pris le chemin vers sa belle voiture de sport. Il tendit sa main vers son véhicule pour appuyer  au bouton de la clé pour déverrouiller la voiture. La portière du coté conducteur s'éleva vers le haut pour s'ouvrir, il y aller pénétrais à l'intérieur quand soudain il entendit :

- Masaki !  


Le jeune Samouraï fronça les sourcils, il reconnaissait trop bien cette voix. Cela ne pouvait être celle de son père, il sortie de la voiture pour regarder qui c'était. Et effectivement c'était bien son paternel qui était en face de lui, il avait fais tout ce sujet pour le voir ? Cela cacher quelques choses, et Masaki ne savait pas pourquoi mais, il se douter de la venu de son père. Le japonais resta très silencieux à son approche les mains dans les poches de son jean noir il attendit que son père ce décide à lui parler. Il était curieux et impatient de savoir ce qu'il lui voulait, son père ne viens jamais le voir amicalement. Il as forcément quelques choses derrières cela... Mais quoi ? Bon sang qu'il parle, Masaki ne supporter plus d'attendre. Le père de Masaki s'arrêta à quelques mètre de son fils regardant la voiture de sport.

- Je vois que tu jète l'argent de l'héritage à la poubelle. Pff quel fils indigne !
- Qu'est-ce que tu me veux père ? Demanda Masaki sur un ton distant et froid.
- Ce soir, des amis à moi se rendre ici jouer aux casino. Si je l'es satisfait je pourrais conclure des affaires avec qu'eux. Donc bien entendu je me suis porté garant pour gérais toute la soirée. Jeux, alcool …

Masaki poussa un soupire, il détourna le visage pour ne pas regarder le visage de son père qui lui faisait honte. Et c'est lui qui viens lui dire à l'instant qu'il jeté l'argent par la fenêtre ? Il trouver que c'était plutôt son père qui le faisait en gérant toute une soirée pour simplement conclure des contrats malhonnêtement. Le père de Masaki poursuivit dans ces explication.

- Et je leur est bien entendu promis des divertissements. Il aura les filles qui travail pour moi et certains garçons, et je souhaite que tu y participe.

Masaki écarquilla les yeux blessé au fond de lui. Comment oser t-il ? Ils ne savaient pas vu depuis des années, et il reviens comme une fleur pour demander presque de faire le catin ? Il se moquer de lui ? Le jeune Samouraï posa les yeux sur son paternel grinçant un peu des dents. Il fini par monté dans la voiture mettant le contact pour démarré en disant :

- Je ne ferais plus ça pour toi. C'est fini, je suis chirurgien je ne rentrerai plus dans tes combines malhonnête.
- Masaki c'est un ordre ! Commença le père en s'approchant de sa voiture posant sa main au dessus de la portière levais. N'oublie pas qui tu est ! Tu m'as déjà fais honte deux fois ! Tu veux me faire honte à nouveau ? Tu veux vraiment salir le nom de notre famille à jamais ? J'ai dit que tu sera présent ! Vois-tu dans quel situation tu me met ! Tu va me faire passer pour un menteur ! Tu est le pire des fils que-

Au fond de lui, Masaki était profondément blessé des paroles qu'il entendait. Il coupa la parole de son paternel jetant son regard froid et distant sur son père.

- C'est bon ! Arrête dit pas plus, j'irai à ta soirée. Puisque tu t'es engagé que j'y serais...
- Soit là-bas pour 21h, ont t'expliquera ce que tu dois faire sur place. Et Masaki ? Ne me déçois pas cette fois.

Affirma son père d'un ton purement méchant avant de s'éloigner sans prendre des nouvelles de son fils. Il demanda juste son service et s'en n'alla sans demander son reste. Masaki poussa un soupire il ferma la portière de sa voiture puis rentra chez lui pour se préparais. Il regarda l'heure... 20h30.. Il n'avait qu'une demi-heure pour mangé, se préparais et partir. Il décida de sauter le repas pour ne pas être en retard, il alla vite fait sortir son chien et prendre une douche. Il se vêtu d'un kimono bleu marine sans motif dessus. Il coiffa ses longs cheveux bleu marine au reflet violet, avant de les attacher. Il se regarder à travers le miroir il avait le ventre nouer, il n'aimer pas faire ça. Il n'était pas déjà douer dans la société il savait que sera pire ce soir. Comment aller t-il s'y prendre ? Quoi dire ? Il n'y était pas encore mais, se posé déjà mille question. Il fini par se parfumer légèrement les poignets et le kimono avant de partir à pied. Il ne voulait pas prendre le risque de prendre la voiture. Ont l'avait déjà forcé à boire l'une de ces soirées comme celle-ci, et il ne voulait pas reprendre le volent avec un verre dans le nez. Il quitta son domicile vers les 20h46 est il avait 35 minutes de marche à pied pour se rendre au casino. C'était vraiment pas sa soirée, il se mit alors à courir pour essayer de ne pas se mettre en retard. Une fois arriver sur les lieux, il passa par derrière enfin d'entré il montra ses papiers bien entendu son père avait appeler le casino pour annoncer la venu de Masaki. Ce dernier rejoint la salle de jeu, le cœur battant à toute rompre. Il regard autour de lui il ne savait pas quel table de jeu était les hommes de son père. Il était à peine arriver qu'il voulait déjà repartir.

Masaki se mordilla la lèvre du bas, il ne voyait pas d'homme qui tenait compagnie à d'autre ni de femme. C'était t-il tromper de casino ? Ou est-ce son père qui lui as jouer un mauvais tour ? L'histoire de lui mettre une belle honte ? Quoi qu'il en soie il ne pouvait plus reculer, il fit quelques pas pour s'approcher des tables de poker. Il laissa ses yeux bleuté se balader sur le visage des joueurs. Il essayer de pensé à des choses positif pour se donner le courage de le faire. Il s'aventuré dans la salle de jeu et il n'avait pas encore remarqué une salle d'homme qui cherche de la compagnie. Masaki s'approcher alors d'une table avec une femme qui dit « tapis » Masaki fronça les sourcils. Est-ce un mot code pour le faire venir ? Car il ne voyait pas de tapis à leur table, il s'approcha un peu plus mais remarqua par la suite que c'était par à rapport au jeux qu'il jouer. Il remarqua également un homme se levais assez rapidement et quitter la table bousculant Masaki au passage. Le jeune Samouraï fut retourner il fit quelques pas en arrière manquant de tomber mais se retiens. Il fronça les sourcils jetant un regard froid à l'homme qui avait quitter la table. Masaki soupira il ne voulait pas passé à coter de la table concerné il va devoir demander. Il détester ça... il était pas comme ça... il était chirurgien pas ce genre de garçon. Il fini par s'approcher du jeune homme ou il avait une place à présent libre à coter de lui. D'une voix neutre mais basse il fini par demander.

« Excuse-moi vous chercher un peu de compagnie ? » Il avait envie à cet instant de se pendre, ou de se cacher dans un petit trou de souris. Qu'est-ce qu'il ne ferais pas pour avoir une petite chance d'être apprécier par son père. Même si il douter qu'une fois de plus il lui rendra service et n'aura même pas un merci de sa part.
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Dim 29 Mar - 23:02
    Un homme fait son apparition aussitôt que la place se libère et s'installe à ma gauche. Je n'y prête tout d'abord pas tellement attention, puisqu'on me distribue un nouveau jeu à ce moment là. As, roi. A trèfle. Je relance. L'un de deux hommes encore présent me suit. On dévoile le flop, que j'ai à peine le temps d'apercevoir puisque c'est cet instant que choisit le nouvel arrivant pour s'adresser à moi, d'une voix basse :

    Excusez-moi vous cherchez un peu de compagnie ?

    J'ai un temps d'arrêt. Le temps de percuter en fait, parce que j'ai pas compris tout de suite où il voulait en venir. Je jette un coup d’œil derrière mon épaule, par réflexe. Oui, oui, c'est bien à moi qu'il s'adresse. Je l'observe plus attentivement, un peu surpris. Il a de longs cheveux sombres, c'est ce que je remarque en premier. Sa peau est claire, ses traits fins, typique de chez nous. Il porte un grand kimono assorti à sa chevelure, qui ne laisse apparaître que ses mains. C'est là que je m'aperçois qu'il n'a pas le moindre jeton avec lui. A l'évidence, tous les deux sommes là pour des raisons totalement différentes. J'hésite un instant, un peu déstabilisé par la situation. Même en mettant de côté le fait que je ne connaisse cet homme ni d'Eve, ni d'Adam, je n'ai pas pour habitude de me faire voir en public. A vrai dire, peu de gens de mon entourage sont au courant de mon homosexualité, alors je ne parle même pas de parfaits inconnus. Et ça me va très bien comme ça. Je reporte alors mon attention sur l'homme à côté de moi.

    Euh, pas vraiment non … je lui répond sur le même ton.

    Un raclement de gorge me ramène à la partie de cartes que j'avais momentanément oublié. J'ai perdu le fil du coup. Je regarde à nouveau mon jeu avant de me coucher. Dommage, ça s'annonçait bien, avant que le flop ne sorte. Je les laisse terminer la manche pendant que je retourne à mes songes. Je suis tout de même assez surpris que cet homme m'ait accosté de la sorte. Un coup d’œil à l'assemblée me confirme ma première impression. Aucune des personnes ici présentent ne semblent être en compagnie de qui que ce soit, à part deux ou trois – dont l'un des hommes à notre table – qui semblent être venus avec leur femme. Mon voisin s'est vraisemblablement trompé d'endroit. Je ne suis pas fin connaisseur, mais je suppose qu'il doit y avoir des salons privés – ou quelque chose de similaire – pour les personnes souhaitant être un peu plus tranquilles. L'air un peu perdu de cet homme fini par me convaincre que j'ai vu juste. Je me rapproche un peu, pour être plus discret.

    Vous êtes sûr que vous ne vous êtes pas trompé de salle ?

    Je ne vois pas d'autre explication. Les clients ici présents semblent être venus pour jouer, exclusivement. A nouveau, on me rappelle à l'ordre, à la table. Je jette mes cartes sans même les avoir regardé. Je ne suis plus très concentré, là, tout de suite. Je ferais peut-être bien de m'accorder une petite pause, ça doit bien faire une heure que je suis ici. Je fini mon verre, pour commencer. Puis je m'en fait servir un autre, auquel je ne touche pas encore. Je sors du jeu à la fin de la manche sans pour autant quitter la table. Rien de très fructueux pour l'instant. Je n'ai pas gagné beaucoup mais au moins je n'ai rien perdu, c'est un début. Je crois que je préfère tout de même jouer en ligne, pas besoin de chercher à déchiffrer chaque expression sur un visage puisque personne ne peut se voir.

    Mon regard se porte à nouveau sur la silhouette de l'homme à côté de moi, qui doit être âgé d'à peine quelques années de plus que moi, avant de m'attarder sur ses mains, que je commence à détailler clairement. Plutôt grandes, presque délicates. Des doigts fins. Des ongles propres, intacts – dire que je suis incapable de passer une journée entière sans massacrer les miens – il semble en prendre soin. J'aime bien les mains, je trouve ça très révélateur chez une personne. C'est con, hein. Mais bon, j'aime bien les mains quoi. Je continue à les observer un moment d'ailleurs, avant de finir par me faire remarquer intérieurement qu'on ne matte pas les gens comme ça, même leurs mains ! Je trouve alors un intérêt soudain et pas franchement crédible à la tapisserie accrochée à l'autre bout de la pièce, parce que là tout de suite, je dois dire que je me sens un petit peu con. Et la tapisserie est franchement moche en plus.
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Lun 30 Mar - 7:53
Masaki se sentait vraiment pas bien dans ce genre de milieu. Il avait beaucoup trop de monde autour de lui, et il avait l'impression d'être une bête de foire. Remarque comment il est vêtu comparais à tout ces autres joueurs qui savait habiller très chic ou classic. Un kimono traditionnel fais un peu tape à l'oeil parmi tout les autres. Il se mordilla la lèvre du bas légèrement il ne supporter plus marché autour des tables comme un catin. Même si il n'avait pas était invité il préfère s'assoir à coter du jeune homme qu'il avait aborder. Il baissa la tête n'osant pas regarder les joueurs il était nerveux et il ne souhaiter qu'une chose qu'il trouve vite la table pour que tout cela se termine. Ont lui proposa alors de jouer mais il fit non de la tête comme réponse. De toute façon il ignorais totalement comment ont pouvait jouer avec ces cartes. Et puis les jeux n'a jamais vraiment était son truc... L'inconnu qu'il avait aborder s'adressa à lui brièvement lui affirmant alors qu'il ne chercher pas de compagnie. Masaki ferma les yeux poussant un soupire, ce n'était pas la bonne table. Il commencer vraiment à songer au mauvais tour que son père lui aurait fais, ou alors... c'était-il juste tromper de salle ? Masaki resta silencieux il regarda l'homme regarder ces cartes avec certaine discrétion enfin que les autres joueurs ne voit pas son jeu. D'un coter il était un peu curieux de savoir comment ont y jouer, il essayer d'observer les gens autour de la table pour y comprendre. Mais, son esprit était trop préoccupé à cette table qu'il ne trouve pas et à ce qu'il devait faire avant de rentré chez lui.

L'homme semblait plus du tout concentré à la venu du jeune samouraï. Est-ce lui qui l'avait perturbais ainsi l'empêchant de jouer correctement ? Il le vit 'se couche' il compris que cela voulais dire qu'il ne jouer pas pour ce tour. Enfin il lui semble, il en n'était pas très sûr. Il s'en voulait un peu d'avoir fais interruption dans sa partie surtout le déranger pour rien. Il avait envie de quitter les lieux et de partir mais, il avait donner sa parole et il tiens sa parole c'est une question d'honneur. Alors, que la table vu bien silencieuse Masaki avait baisser son regard vers ses mains qui était sur ses cuisses. Il avait fais le tour et n'avait pas vu d'autre table qui semblait chercher de la compagnie qu'allait-il faire ? Attendre là jusqu'à la fin de la soirée ? Et d'attendre si quelqu'un fais signe ? La soirée promet d'être long et ennuyeuse. Soudain, il entendit un petit bruit de frottement signe que quelqu'un bouger. Il tourna sa un peu sa tête vers l'homme à coter de lui, il eu un moment de recule. C'était un réflexe il ne savait pas les attentions de l'homme et préférais rester prudent. Quand il compris que l'homme chercher juste à lui parler en toute discrétion il s'approcha un peu tendant son oreille. Ses longs cheveux bleu marine tombèrent légèrement sur le coter. L'inconnu lui demanda alors, si il ne savait pas tromper de salle. Il fut gêner par ces paroles, il regarda autour de lui un moment puis baissa la tête il voulu soufflait quelques choses pour lui répondre. Mais, l'inconnu fut rappeler à l'ordre pour jouer ou il jeta ses cartes sans prendre la peine de regarder. Masaki fronça les sourcils il pointa son index d'un geste timide et pas osé vers les cartes qu'il avait jeter soufflant très faiblement.

« Vous n'avez pas regardez vos cartes... Je suis désolé de vous interrompre dans votre jeu. »

Masaki avait l'impression de le gêner, le déranger... Mais cette impression il l'as toujours que se soie ici ou ailleurs. Il as sans cesse cette impression d'être un boulet pour les autres. Le jeune samouraï essaya de regarder qui avait gagner dans cette manche. Mais il avait du mal à suivre la partie, il soupira puis baissa à nouveau la tête il tripota un peu ses mains. Cherchant à savoir si il doit se levais et les laisser tranquille ou attendre ici. Il n'avait pas envie de se levais et d'attendre comme un idiot debout dans la salle. Il se sentait bien assez gêner d'être dans cette situation là, pourquoi à t-il accepter sincèrement ? D'accord qu'il veut un peu d'estime de son père mais faut regarder la vérité en face, ce dernier se serre de lui sans scrupule. Il le regarda du coin de l’œil terminé son verre et en demander un autre sans le touché. Il se mordilla la lèvre du bas avant de baisser son regard restant silencieux. Au bout d'un certain moment, le jeune japonais se sentit observer. Il avait sentit un regard depuis plusieurs minutes déjà sur lui, il ne pu s'empêcher de jeter ses pupilles bleuté vers le visage de l'inconnu à coter de lui. Remarquant alors, que ce dernier avait le regard vers son … son bas ? Il fronça les sourcils, il baissa son regard mais remarqua alors qu'il regarda plus ses mains. Qu'avait-il ces mains ? Il était vrais qu'il en prenait soin et qu'il ne se ronger jamais les ongles. Il les couper proprement, ces mains était son outils de travail il devait donc en prendre soin.


Il reposa son regard sur le jeune inconnu qui semblait un peu gêner puisqu'il avait détourner le visage. Il semblait avoir porter son attention sur la tapisserie des lieux. Le jeune japonais posa son regard sur celle-ci qui était horriblement moche à son goût. Il en profita un peu pendant qu'il avait le visage détourner pour observer à son tour l'homme plus en détail. Il se mit à détail le visage de l'inconnu ainsi que ces cheveux, oui il aimer plonger ces mains dans les cheveux... Et les siens était court avec quelques mèches sur le visage, c'était la pire des tentations d'aller s'en amuser avec. Ce que Masaki aime aussi chez une personne c'était le regard... Et il fallait reconnaître qu'il avait un beau regard. Masaki se mordilla la lèvre du bas faiblement, il fini par se penché un peu pour s'approcher légèrement de lui.


« Avouez elle est moche cette tapisserie... » Il marqua un moment de pose avant de reprendre. « Je vous pris de m'excusez de mon intrusion dans votre partie. Avec tout cela je ne me suis pas présenté je m'appelle Masaki... Masaki Yamasaki. Je vous pris encore d'accepter mes plus plates excuses... » Bien entendu il avait parler d'une voix basse pour ne pas déranger les autres joueurs.
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Lun 30 Mar - 18:12
    Apparemment, cet homme ne semble pas tellement disposé à me répondre. Je l'ai même senti un peu craintif, lorsque je me suis approché de lui. Ça me surprend et ça me fait rire intérieurement. Je ne suis pas vraiment habitué à ce genre de réactions, c'est plutôt moi qui ai tendance à être sur mes gardes, d'habitude. Ma question était peut être un peu déplacée, finalement. J'aurai sans doute mieux fait de m'abstenir. Je retourne à ma partie, l'air de rien. Je viens juste de coucher mon jeu lorsque l'inconnu se penche à son tour, me soufflant quelques excuses. Il est vrai que je n'ai pas vraiment suivi le jeu depuis son arrivée. De là à l'en tenir pour responsable …

    J'avais besoin d'une pause de toutes façons, je lui répond après avoir quitté la partie.

    J'étais surtout pas vraiment capable de me concentrer pour l'instant. Je me demande ce qu'il peut bien attendre là, du coup. J'en viens à me demander si lui même sait vraiment les raisons de sa présence ici. Sincèrement, il n'a pas l'air très à l'aise. Et il regarde un peu partout depuis tout à l'heure. Peut-être qu'il attend quelqu'un.

    Sérieux, cette tapisserie est vraiment moche. Mais vraiment. Heureusement que les couleurs sont plus ou moins assorties avec celles du mur sur laquelle elle est accroché, parce que sinon ça jurerait franchement avec le reste. Je m'évertue pourtant à la détailler plus franchement, tentant de paraître un temps soit peu intéressé par cette horreur. Je dois être convainquant, puisque le silence commence à s'éterniser.

    Avouez elle est moche cette tapisserie.

    Ah ouais, nan, pas convainquant du tout en fait. Je m'accorde un instant de réflexion avant de lui répondre à mon tour.

    Je ne pense pas exagérer en affirmant qu'il faudrait la brûler.

    J'esquisse un léger sourire puis me tourne légèrement pour attraper mon verre et en boire quelques gorgées. Je remarque qu'un autre joueur s'est installé à la table, une femme. La salle semble plus remplie, elle aussi. D'ici une heure ou deux, ce sera plein. Je sens que je ne vais pas tarder à m'esquiver, je ne suis pas amateur de bains de foule. J'aurai sans doute mieux fait de venir en semaine, où l'ambiance aurait été bien plus calme.

    L'inconnu commence à ne plus en être un, puisqu'il se décide finalement à se présenter. Je l'observe, m'attardant un instant sur la cascade de cheveux qui dégringole sur l'une de ses épaules. Il ne semble visiblement pas pressé de retourner à ses occupations. Je capte son regard à l'instant où les mots franchissent mes lèvres.

    Moi c'est Kazuke. Et arrêtez de vous excuser, c'est gênant.

    Bon. C'est peut être pas le moyen le plus efficace d'entamer une conversation. C'est dans ces moments là que je m'aperçois que j'ai quand même des petits problèmes de sociabilisation. J'adore ma sœur, mais je pense tout de même qu'elle y est pour beaucoup dans tout ça. Je me renvoie encore en train de me précipiter dans les jupes de ma mère, après m'être pris une – énième – branlée – rarement méritée – par Datura. Sérieusement, avoir une sœur aînée, c'est vraiment très mauvais pour la santé. Elles ont tendance à nous prendre pour des esclaves. Non, nous sommes des esclaves. Point barre. J'adore ma sœur, hein.

    Je me lève d'un coup. Inutile de rester ici, j'occupe une place pour rien et j'ai l'impression que nous dérangeons plus les joueurs qu'autre chose, à discuter ainsi. Je bois encore quelques gorgées puis repose mon verre, sans même l'avoir terminé. Le salue le groupe d'un signe de tête puis récupère mes jetons. Je m'apprête à partir puis marque un temps d'arrêt et finis par me retourne. Sourcils froncés, je fiche mon regard dans le sien avant de lâché, d'un air un peu empressé :

    Bon,vous venez ?

    Je ne sais pas vraiment ce qui me prend. Je ne sais pas moi même où je vais là, en réalité. Il va sérieusement falloir que je fasse un effort, j'ai l'impression d'être assez désagréable en fait, bien que mon but soit plutôt le contraire. A ce rythme, je vais faire fuir ce pauvre homme avant même qu'on ai fait dix mètres.
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Lun 30 Mar - 19:09
L'homme lui avait affirmer qu'il avait besoin d'une pause, mais il ignorais pourquoi il avait l'impression de déranger. Viens au moment ou il lui demanda d'avouer qu'elle était vraiment moche cette tapisserie, ce dernier suggéra qu'ont pouvait la brûler. Masaki retiens un petit rire qu'il cacha en baissant la tête un peu gêner. Par la suite l'homme se présenta il s'appeler donc Kazuke, ce nom ne lui disait rien. Et son père ne lui avait pas invoqué un tel nom. Il savait vraiment tromper de salle alors? Ou cette fameuse soirée n'était même pas lieu d'être ce soir là ? Il savait payer de sa tête ? Le jeune homme ajouta qu'il devait cessé de s'excuser que ça devenait gênant, il rougit fortement puis détourna le visage murmurant.

« Désolé c'est plus fort que moi je-... » Il murmura faiblement. « Gomen... »

Quelques instant s'écoula ou le silence avait pris place. Masaki n'était pas un grand bavard et il ne savait toujours pas ce qu'il va faire. Si il va rester à cette table, si il décide de chercher la bonne table ou si il prend la décision de rentré chez lui. En même temps, il avait aborder cet homme il pourrait essayer de faire connaissance avec lui ? Mais, ça ne semblait pas facile car il semblait froid et tris distant. Il ne sentait pas ouvert à essayer de se connaître bien le contraire, il avait l'impression qu'il aurait préférais qu'ont le laisse tranquille. Il se mordilla la lèvre du bas se tripotant les doigts nerveusement, il fini par en avoir mal au ventre d'être là terriblement gêner de cette situation. Surtout qu'il occuper utilement une place. Mais, il n'avait pas envie de bouger il ne voulait pas se levais et montré l'image d'un catin ce qu'il n'est pas ! Même si il doit le faire pour rentre service à son père. Soudain, il remarqua l'homme à coter de lui se levais d'un coup. Masaki leva sa tête légèrement en arrière pour le regarder la bouche entre ouverte, avait-il dit quelques choses de mal ?

Masaki était toujours ainsi, à se remettre en question. Et à ce demander si il n'avait pas dit ou fait quelques choses qui aurait déplus. Il observa Kazuke finir son verre avant de reposer son verre de prendre ses jetons et de saluer le groupe. Il compris alors qu'il quitter la table et donc surement la salle. Masaki fini par baisser la tête regardant ses mains le laissant s'éloigner, le voilà seul. Que va t-il faire ? Il ne pu même pas y songer qu'il entendit une voix plutôt empressé. Il leva le regard pour voir Kazuke les sourcils froncé lui dire de le venir. Etait-il fâcher ? Pourquoi un tel ton ? Que devait-il faire ? Ou aller t-il l'amener ? Avait-il compris ce pourquoi il était là ? Et allait t-il faire quelques choses ? Masaki hésita il allait se levais mais arrêta son geste, il regarda autour de lui. Pour bien voir si c'était à lui qu'ont s'adresser, il fini par se levais lentement. Il remit son kimono en place, puis regarda autour de lui pour bien regarder qu'il n'avait aucune table qui chercher de la compagnie. Il fini par s'approcher de l'homme doucement le regardant dans les yeux. Il murmura doucement.

« Je croyez que vous ne voulez pas de compagnie ? » Demanda t-il en levant un sourcils. « Où vous voulez m'amenez ? » Demanda t-il sans le lâcher du regard. Alors que soudain, il entendit une porte s'ouvrir tout au fond de la salle. Masaki tourna sa tête pour regarder ce qu'il se passé, il découvrir alors qu'il avait une autre salle ou des gens jouer au poker. C'était une salle privé ou il avait des hommes sur des hommes ou des femmes sur les cuisses des hommes. C'était là ou Masaki aurait du se rendre mais, il en n'avait plus très envie. Surtout que le jeune homme lui avait demander de venir. Masaki s'approcha un petit peu vers Kazuke lui disant :

« Allons-ci. Je vous suis. » Peut-importe ou il allait l'amener il voulait partir, il voulait pas subir une nouvelle fois ça. Les mains qui glisses sous son kimono ou les moqueries, les critiques ou encore la pression mental qu'ont pourrais le faire subir dans cette salle. Alors, qu'il allait quitter la salle un homme du salon privé avait remarqué au loin Masaki. Comment ne pas le reconnaître ? Il saute aux yeux avec son kimono et ces longs cheveux bleu marine. Il cria alors :

- Hey ! Toi ! Il se mit à sifflé s'approchant de Masaki qui savait arrêter. Quand l'homme du salon fut assez proche de Masaki il l'attrapa par le bras et le tira d'un coup sec vers lui.
- ça fait une heure que les clients t'attente ?! Qu'est-ce que tu foutait ?! Ton père paye pas pour que tu tiens compagnie à des étrangers ! Dit-il en regardant Kazuke de haut comme si il était un moins que rien.
« Je... Je ne trouver pas la salle... » Essaya de dire Masaki la tête baisser n'osant pas regarder l'homme. Lui qui pensé que son cauchemars aller se terminé et bien non.
- Tu te moque de moi ?! C'est écris en toute lettre sur la porte ! Ton père va être furieux ! Aller viens tu as du travail !

Cria l'homme en tirant Masaki de force sans aucune douceur. Le jeune japonais essaya de se débattre mais plus il se débattait plus il tiré sur son kimono qui se défait légèrement dévoilant toute son épaule et son omoplate qui était marqué de plusieurs cicatrice de coup de fouet pas toute jeune.

« Non... Attend, j'ai donner ma parole à ce jeune homme que je le suivais je-... » Mais l'homme lui coupa la parole.
- Tu n'a pas tenir compagnie à des étrangers si il veut un catin il en prend un autre ! Affirma l'homme. Masaki baissa la tête cachant ses yeux avec ces petites mèches de cheveux qui tomber sur son visage. Quel honte de dire cela à haute voix devant tout le monde.
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Lun 30 Mar - 21:27
    Je suis là. Debout. A attendre. Comme un con. Je ne sais même pas ce que j'attends en plus puisque je ne sais même pas ce qui m'a pris de lui proposer – voir même limite l'obliger en fait, vu le ton que j'ai employé – de me suivre. Je commence presque à m'impatienter lorsqu'il se lève finalement, après un moment d'hésitation. Je comprend même pas pourquoi on essaye d'établir une sorte de communication tous les deux, on a l'air aussi extraverti l'un que c'est l'autre, c'est à dire pas du tout. Je m’apprête à déclarer forfait lorsque Masaki me chuchote à nouveau quelques mots.

    Je soupire malgré moi. Je crois que nous ne sommes définitivement pas sur la même longueur d'onde, lui et moi. A quoi est-ce que je m'attendais, en même temps ? Cet homme est là pour vendre ses services, pas pour perdre son temps avec un imbécile qui ne semble même pas savoir ce qu'il dit. Aller où ? Bonne question. Je pensais commencer pas sortir de la salle. Après bah, j'y ai pas encore réfléchi. Mon cerveau est programmé sur mono-tâche ce soir. Une chose à la fois et pas trop vite surtout ! Je m’apprête à répondre lorsqu'une porte se met à claquer, nous obligeant tous les deux à tourner la tête. Je n'avais même pas remarqué cette pièce jusqu'à maintenant.

    Je marque un temps d'arrêt lorsque mon regard se pose à l'intérieur. Bon, je crois que j'en ai assez vu pour ce soir. A l'évidence, l'homme à côté de moi à bien plus à faire que de perdre ainsi son temps avec ma personne. Un homme s'approche de nous, ce qui me conforte dans l'idée que je ferais mieux de déguerpir assez rapidement.

    Allons-y. Je vous suis.

    Là, je suis complètement largué. C'est bien cette salle qu'il cherche depuis le début, non ? Je n'ai pas le temps de m'attarder davantage sur la question que l'autre homme nous interpelle et nous rattrape, empoignant le bras de Masaki sans douceur aucune. S'en suivit alors un échange vocal des moins subtils entre les deux hommes. Si j'avais pu avoir encore quelques doutes jusqu'ici sur Masaki, la raison de sa présence ici était désormais plus qu'évidente. Le fait d'apprendre qu'il travaille pour son père m'offusque davantage que tout le reste, bien que je ma garde d'en faire la moindre remarque. A vrai dire je suis plutôt dépassé par la tournure des événements, j'observe plus que je vis la scène qui est en train de se dérouler sous mes yeux.

    Je comprends que ça commence à dégénérer lorsque l'espèce de gorille tente de traîner le plus jeune avec lui, qui ne semble visiblement pas décidé à se laisser faire. Un pan du kimono glisse alors le long de son épaule, dévoilant pudiquement une omoplate. Je crois que j'aurai pu trouver ce geste tout à fait désirable, si la situation s'y était prêtée. Mon regard accroche alors les cicatrices, dissimulées jusqu'à maintenant par le tissu. Je détourne rapidement les yeux. Je crois que je préfère ne pas me poser la moindre question.

    L'attention de la salle est sur nous depuis un moment déjà. Tout le monde nous regarde. Je n'aime pas ça. Masaki se débat toujours et croit judicieux de souligner qu'il a déjà quelque chose de prévu. L'autre réplique aussitôt, pas du tout satisfait de savoir qu'on a l'intention de s'éclipser tous les deux. Et là – oh comble de la honte – c'est imbécile ce sent obliger de nous afficher devant tout le monde. J'aurai mieux fais de rester chez moi ce soir. Je soupire profondément. Je suppose que c'est à ce moment là que je suis censé éclater le mec devant de me retirer telle une fleur en compagnie de Masaki. Ça a l'air tellement simple, formulé comme ça. Le hic – y'en a un, oui – c'est que je suis bien incapable de tenir tête à qui que ce soit. Déjà parce que je suis pour la non violence. Et puis lee gars doit faire deux fois mon poids et une tête de plus que moi. J'ai pas franchement envie de jouer les suicidaires.

    Je jette un bref regard à Masaki, hésitant. Je ne peux pas le planter, ce serait vraiment horrible de ma part et pas du tout mon genre. Je suis plutôt du genre bonne poire, à vrai dire. Mais j'ai horreur de servir de punching-ball.

    Bon écoutez, on se connaît depuis tous petits. On veut juste passer un peu de temps ensemble, d'accord ? Je vous garantie qu'on se contentera de jouer aux billes.

    Je m'auto-flagelle psychologiquement à l'idée de ne pas être fichu de trouver une excuse un peu plus crédible. Sans laisser le temps à mon interlocuteur d'analyser la non profondeur de ma répartie, je lui fourre l'intégralité de mes jetons dans les bras, histoire de gagner un minimum de temps.

    Croyez-moi, c'est déjà pas mal. Dites-lui à son père, qu'il vient de faire une très bonne affaire. Personne ne payerait aussi cher pour jouer aux billes !

    Une demi seconde. C'est le temps que j'ai devant moi avant d'être certain de passer un sale quart d'heure. J'empoigne le bras de Masaki et me précipite vers la sortie, en espérant que celui-ci me suivra sans poser de questions. A ce niveau, c'est de l'improvisation totale.
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Mar 31 Mar - 8:31
Masaki ne savait plus ou se mettre, cette situation était plus que gênante. Il détester quand sont père lui demander ce genre de service. Il se demanda pourquoi il avait accepter, pourquoi il est toujours à essayer de remonter dans l'estime de son père. Pour finalement avoir toute ces ondes négatives, il fallait qu'il voit l'évidence son père ne l'appréciera jamais. Et pour plusieurs raison, quoi qu'il face et cela ne changera jamais. Il faut qu'il arrête de lui rendre service de cette façon, oui c'est ce que Masaki se dit à chaque fois. Mais, à chaque fois qu'il voit son paternel il as tellement espoir qu'il vienne avec de bonne attention. Tellement espoir qu'il finira par lui dire un petit mot gentil, qu'il fini par accepter ce qu'il lui demande à chaque fois. Le jeune Samouraï poussa un soupire, il essayer toujours de se débattre il n'attendait pas que son interlocuteur de tout à l'heure vienne l'aider. Il n'avait jamais était aider, et il savait qu'il devait se débrouiller seul. Que ce soie pour cette situation ou pour une autre, Masaki reste un solitaire ou il était convaincu qu'il était rejeter par la société à cause de son tempérament si maladroit et peu amical. Le japonais posa sa main sur le poignet de l'homme du salon privé pour essayer qu'il le lâche. Il sentait tout les regards sur lui, il avait envie de se cacher dans son kimono pour que personne ne puisse le voir. Bien entendu il pouvait aussi s'en débarrasser en utilisant la force et donc déclenchant une bagarre. Mais, les regards était assez poser sur lui, pas la peine d'attiré d'avantage l'attention sur lui. Et puis, c'était l'homme de son père si il le frappe sera forcément rapporter à ces oreilles et il le détestera encore plus. Encore sous l'enprice de son père à 28 ans allait vous me dire ? Et oui, mais Masaki ferais tout pour être juste un peu aimer par son paternel.

Alors, que l'homme le tira de toute ces forces vers lui. Masaki fit quelques pas en avant il était forcé de le suivre mais soudain contre toute attente il entendit la voix de Kazuke. Il écarquilla les yeux il posa son regard bleuté sur lui fronçant les sourcils. Que faisait-il ? Pourquoi n'était pas parti ? Après tout ce qu'il se passe sous ces yeux n'est pas son problème. - Loin l'idée que Masaki n'apprécier pas cette intervention. Bien le contraire il en était profondément touché.- Masaki fut tout simplement agréablement surpris, 80% des gens serais partie face à une tel situation. Surtout pour une personne qu'ont as échanger quelques mots. Et pourtant il était là, il n'était pas partie essayant de lui le tiré de là. Il écouta alors son mensonge commençant par dire à l'homme du salon qu'ils se connaissait depuis tout petit. Aïe c'était mal partie comme début mais, il ne pouvait pas l'en vouloir il ne savait pas le passé de Masaki. Et il s'imagine qu'il devait pensé que Masaki avait eu une enfance quelques peu normal. Cependant l'homme du salon connaissait le père de Masaki et donc savait que l'homme en face de lui, lui inventé juste un gros bobard. Le jeune japonais écarquilla les yeux quand Kazule lui promis qu'ils se contentera de jouer aux billes. Il ne pu s'empêcher d'étouffer un petit rire amuser, c'était quoi ce mensonge pas du tout crédible ? C'était kowaiiiiiiiii ! Oui Masaki trouver cela très mignon ! Il essayer de l'aider mais c'était vraiment pas crédible. Et l'homme était pas si bête que ça il demanda :

- Non tu veux me faire croire que tu va rester avec un homme presque dénudé et te contenté de jouer aux billes avec lui ? Lai-

Mais l'homme ne pu terminé qu'il sentit les jetons que Kazuke avait dans ses bras. Il regarda les jetons puis reposa son regard sur le brun qu'il lui dit de dire à son père qu'il faisait une très bonne affaire. Personne ne payerai aussi cher pour jouer aux billes. Masaki ne pu s'empêcher de retenir encore un petit rire, c'était vraiment pas le moment de rigoler mais c'était tellement drôle au fond. Mais, il avait raison personne ne dépenser autant d'argent pour une partie de bille. Le samouraï fut profondément touché par son geste mais aussi gêner car il sentit qu'il avait une dette envers le jeune homme. Il n'aimer pas devoir de l'argent à quelqu'un et il avait l'impression d'avoir fais perdre l'argent de Kazuke qu'il avait gagner à sa partie de poker. L'homme ne fut pas contre l'argent mais ne semblait pas décider de lâcher l'affaire aussi facilement. Mais ce dernier n'a pas eu le temps de réagir qu'il vit le jeune brun attraper le poignet de Masaki pour le tiré d'un pas rapide hors de la salle.

Masaki poussa un petit gémissement de surprise en sentant les doigts de Kazuke s'enrouler autour de son poignet. Il fut tiré ses cheveux dansé légèrement derrière lui, il se mit à courir à coter de Kazuke. Il entendit des pas rapides derrière lui signe que l'autre gorille devait les suivre. Masaki regarda autour de lui, il vit un petit couloir étroits qui devait amener à une salle privé des employer. Masaki posa sa main sur l'épaule du jeune brun pour le poussé dans ce petit couloir, il mit son index sur les lèvres du jeune lâchant un petit. « Tchu... » Masaki laissa glisser son index sur les lèvres du jeune homme avant de le retiré. Il posa son dos contre le mur proche du jeune homme son épaule ainsi que son omoplate était touché dévoiler. Il observa du coin de l’œil sortant à peine son visage pour voir si ils étaient toujours suivie. Il remarqua par la suite l'homme qui les pourchasser s'approcher dangereusement, il posa sa tête contre le mur fermant les yeux. Ce dernier passa juste à coter d'eux sans les apercevoir, Masaki poussa un long soupire ouvrant les yeux il regarda Kazuke dans les yeux. Il murmura faiblement :

« Arigatô... Sincèrement... Je.. je suis une nouvelle fois désolé de ce qui viens de se passé. A cause de moi vous avez perdu ce que vous avez gagner. »Il baissa la tête, il s'excuser encore une fois mais c'était plus fort que lui. Il poursuivit : « Je... Je vous rembourserai. Par l'argent ou un service ce que vous voulez mais je tiens à vous remboursait... » Masaki baissa la tête il pensé à ce qu'il venait de se passé. Et au geste que Kazuke avait fais, pourtant ça devait pas être grand chose. Mais pour le jeune japonais c'était énorme il était tellement touché qu'il souhaiter montré sa gratitude, il pensa qu'il pourrait terminé la soirée en l'invitant à boire un verre ? Mais comment s'y prendre sans être maladroit et tout raté une fois de plus ? Masaki chercher une méthode pour bien se comporter mais les paroles de Kazuke raisonna dans sa tête. Il se mit à rire légèrement le regardant une nouvelle fois soufflant faiblement. « Aux billes ? » Demanda t-il d'un ton amuser presque attendrit.
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Mar 31 Mar - 16:37
    Heureusement, Masaki me suit sans broncher. J'aurai eu l'air franchement con sinon. Je me précipite hors de la salle sans me poser de questions, bien décidé à mettre le plus de distance possible entre le casino et nous. Je me sens poussé sur le côté et n'ai même pas le temps de comprendre ce qui se passe que je me retrouve plaqué contre un mur. Je lance un regard à Masaki qui coupe court à mes interrogations d'un doigt sur ma bouche. Je le prend avec tellement de sérieux que je m'arrête pratiquement de respirer.

    Ça devient presque ambigu là. Sérieux, je suis pas très à l'aise. La proximité de cet homme me perturbe un peu quand même. Je peux même sentir son parfum, d'ici. C'est à ce moment là qu'il se décale pour s'adosser au mur à son tour. Merci. Vraiment, ça aide. Je profite de l'occasion pour observer ce qui se passe autour de moi. Nous sommes visiblement dans un couloir désormais, heureusement désert. Des bruits de pas semblent pourtant mener à notre direction. Mon cœur s'emballe, et je commence à prier intérieurement toutes les divinités possibles de bien vouloir nous venir en aide. S'il vous plaît, juste un petit coup de pouce quoi. Je venais juste passer une soirée peinard à la base.

    Mes souhaits doivent avoir été entendus, puisque – oh miracle ! – l'homme à notre recherche passe à côté sans même nous apercevoir. J'entends un soupir. Je tourne la tête au moment où Masaki s'adresse à moi. Je suis tenté de lever les yeux au ciel face à ses excuses interminables mais je fais un effort pour me contenir.

    Arrêtez de vous excuser. J'aurai fini par les perdre, de toutes façons.

    Ou pas. Mais bon, là tout de suite c'est bien le cadet de mes soucis. Et voilà qu'il en rajoute une couche en tenant absolument à me rembourser maintenant. Je suis doublement ennuyé par ce qu'il vient de dire. De un, je me fiche royalement de cet argent dans l'immédiat. Je préfère plutôt chercher un moyen de sortir d'ici sans trop se faire voir. De deux ; franchement, est-ce que j'ai une tête à m'offrir les services de quelqu'un ?! Bon, je me doute bien qu'il n'y a pas de tête particulière à avoir mais je veux dire, j'étais simplement venu jouer au poker ! J'ai envie de me taper la tête contre le mur. Je soupire bruyamment.

    N'en parlons plus, d'accord ?

    Ce n'est pas vraiment une question en réalité, même si je l'ai formulé telle quelle. Je m'attarde à nouveau sur cette épaule dénudée, ce kimono presque déplacé dans un endroit pareil. Ça lui va bien, pourtant. Je ne devrais pas m'attarder sur ce genre de détails mais c'est plus fort que moi. L'homme relève alors la tête, un sourire – semble-t-il amusé – sur le visage. Des billes ? Ah oui. Des billes. Disons que dans le feu de l'action, je n''ai vraiment eu le temps de peaufiner mon texte. Je laisse échapper un léger rire.

    Je me suis dit que ça passerait toujours mieux que la marelle ou la corde à sauter.

    Je m'écarte tranquillement du mur pour me redonner une certaine contenance. On aura tout le temps de plaisanter plus tard. Ce serait stupide de s'éterniser davantage et ainsi prendre le risque de se faire repérer maintenant. Tout le monde doit penser qu'on s'est fait la belle désormais, on devrait donc pouvoir se frayer un chemin jusque à la sortie sans trop de problèmes. Bien que la tenue du jeune homme qui m'accompagne ne soit pas des plus discrètes. Je me garde bien de le lui faire remarquer pourtant. On a déjà suffisamment de difficultés à communiquer, je ne crois pas qu'il soit bien utile d'enfoncer le clou.

    Je passe la main dans mes cheveux d'un geste machinal, comme pour me remettre les idées en place. La seule sortie que je connaisse est celle de la porte principale, celle par laquelle je suis entré en début de soirée. Bien, passons par là. Mon ventre se met à gargouiller. Je lui jette un regard un peu blasé, bien qu'il n'y ai pas la moindre chance pour qu'il me réponde – c'est un ventre après tout. Il ne manquait plus que ça. Je me tourne brièvement vers Masaki pour lui faire part de la suite des événements.

    Sortons d'ici. J'ai la dalle en plus.

    Le geste suit presque aussitôt la parole. Je m'élance dans la salle, dans l'espoir qu'on ne croise pas d'obstacle sur notre route. Je n'ai vraiment pas envie de m'attarder ici davantage. A vrai dire, je doute sincèrement de remettre les pieds ici un jour.
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Mer 1 Avr - 10:26
Masaki avait juste l'impression d'être hyper nul avec ce jeune homme. Il avait l'impression que ces excuses le déranger plus qu'autre chose. Et pourtant Masaki était remplie de bonne volonté... pourtant il voyait bien que cela l'agacer qu'il s'excuse sans cesse. Mais c'était de sa personnalité à toujours s'inquiéter pour autrui, et il puis ont lui as tellement dit par le passé qu'il était un boulet pour tout le monde. Qu'il fini par y croire. Quoi qu'il en soie, Masaki continua en lui disait qu'il était une nouvelle fois désoler pour ces jetons et qu'il souhaiter le rembourser d'une façon ou une autre. Là non plus, il sentit pas le jeune homme très content. Peut-être qu'il ne voulait pas de son argent ? Peut-être qu'il n'aimer pas les hommes et préférais les femmes et donc il l'avait froissé ? Ou peut-être Masaki était tout simplement trop moche pour lui plaire ? Masaki poussa un soupire détournant le visage, il allait de gourde en gourde.. Il avait beau essayer de se rattraper d'un coté ou un autre. Il semblait tout faire de travers, c'était vraiment pas son jour il aurait mieux fais de ne pas l'aborder et de rester dans son coin. Il aurait bien fini par voir cette porte qu'il n'avait pas vu...

Le jeune homme poussa un soupire bruyamment avant de lui demander de ne plus en parler. Masaki hocha faiblement la tête n'osant pas le regarder. Aller tait-toi Masaki arrête tu va le faire fuir à force de te comporter si mal avec lui. Masaki fini par entendre alors contre toute attente un rire, avait-il dit quelques choses de mal ? Ha non ! C'est parce qu'il avait parler des billes, et cela le fit également rire. Masaki ferma les yeux content d'avoir un peu détendu l'ambiance et de l'avoir fait rire. Il écouta son explication il ricana légèrement.

«  Vu notre âge ça n'aurait pas était crédible. Et je n'ai jamais jouer aux billes ou à ce genre de jeux d'enfant. » Dit-il en se redressant doucement. Il tira son kimono pour le remettre correctement et l'attacher fermement, maintenant que le danger était passé il pouvait s'habiller sans avoir peur d’attirés l'autre idiot ici. Soudain, il entendit le ventre du jeune homme crier famine. Il baissa son regard pour regarder le ventre de ce dernier, il se mordilla la lèvre du bas il semblait avoir faim ? L'heure devait passé et serais t-il l'heure du dîner ? Il avait bien envie de lui proposer de lui faire un bon repas comme il sais faire. Mais, il ne se voyait pas l'invité chez lui ? Déjà qu'il doit pensé qu'il est jeune un catin qui cherche à vendre ces services. Il ne voulait pas confirmer ces pensé, donc l'invité chez lui ne serais vraiment pas approprier. S'invité lui-même chez le jeune homme serais très mal polie et cela pourrais encore appuyer sur l'idée qu'il soit un catin. Il ne rester plus que la solution de l'amener à un restaurant, l'ennuie c'est que Masaki n'aime pas les lieux ou il avait du monde. Il ne se sens pas à l'aise, cependant il ne pouvait pas laisser ce jeune homme avoir faim. Il l'avait aider tout de même, il pouvait faire un effort... Il entendit le jeune homme dire de sortir de là qu'il avait la dalle, au ton de sa voix il semblait contrarier. Ou peut-être était-il comme lui en général ? À avoir une allure froide et distant pour cacher ces véritable émotion. Il est vrais que d'habitude Masaki est plus ainsi, et non aussi fragile et maladroit qu'il semble l'être ce soir.

Quoi qu'il en soie, Masaki ne dit pas un mot et fini par sortir de la cachette pour commencer à se diriger vers la sorti. La seule qu'il connaissait et qui était accessible pour les gens hors du personnel. Cependant, il avait une crainte c'est que l'autre gorille soit à la sortie en train de les attendre. Plus ils se rapprochèrent plus Masaki avait la boule au ventre mais, il ne vit personne. Il se pressa de sortie en compagnie du jeune homme puis tourna à gauche pour commencer à s'éloigner du casino. Quand soudain, il entendit une voix dire :

- Pas si vite ! Tu croyez vraiment que j'allais gobé ton bobard avec le jeux des billes ?

Au son de la voix, Masaki pensa qu'il s'adresser à lui et allait l'attraper violemment pour le ramener à l'intérieur. Mais non, il entendit du bruit à coter de lui, il tourna sa tête pour remarqué que le gorille avait attraper Kazuke par le col et l'avait tournée de force pour qu'il le regarde. Il semblait furieux et décider de lui faire payer son mensonge avant de le laisser partir. Masaki vit le poing fermer de l'autre idiot près à le balancer sur le visage de Kazuke. Notre samouraï grinça des dents, c'était une vision qu'il ne supporter pas. Qu'ont lui face du mal passé encore il s'en moquer... personne ne le disputera en rentrant... personne ne s'inquiétera... Mais qu'ont face du mal à quelqu'un qui l'avait aider juste avant et qui avait surement des gens autour de lui près à s'inquiéter il ne supporter pas. Et en plus, il l'avait aider il ne mérité pas ça. Masaki savait qu'il ne pouvait pas touché aux hommes de son père mais, il ne pouvait pas regarder Kazuke se faire frapper sans rien faire. D'un geste précipité il se mit entre les deux hommes poussant Kazuke en arrière alors, qu'il vit le poing s'approcher dangereusement de lui. D'un geste vif Masaki se pencha sur le coter pour éviter le coup, ses longs cheveux suivit le mouvement. Il attrapa d'un geste rapide le poignet, son regard se durci d'un coup et deviens très froid. Il tira d'un coup l'homme pour le mettre contre lui, il lui tourna le bras pour l'enrouler autour de sa gorge frappant d'un coup fort et précis au niveau de sa côte droite. L'homme se mit à gémir fort alors qu'il avait donner juste un coup mais, Masaki savait ou frapper. Il le lâcha le poussant brutalement devant lui avant de l'attraper par le col à son tour le tourner vers lui. Il leva son pied son kimono s'écarta légèrement mais, Masaki frappa avec son pied sur le ventre du jeune homme. Qui eu la respiration bloqué et fini au sol, le jeune Samouraï ne chercha pas à savoir si il allait se relevais il se tourna vers Kazuke lui attrapa le poignet et se mit à courir pour s'éloigner du casino prenant à droite puis à gauche puis à nouveau à droite. Enfin qu'ont ne sache pas ou il se rendait, il fini par arriver à un petit restaurant ou ont pouvait apporter les plats.

« Je vous propose de mangé, je vous invite prenait ce que vous voulez. » Dit Masaki en s'approchant du comptoir pour commander pour sa part une salade vert composé. Il n'avait pas très faim, il sortie des billets de son kimono pour payer une fois la commande terminé. Il prit les sac puis s'éloigna du restaurant pour amener le jeune homme sur l'herbe loin un peu de la civilisation. Il s'assit par terre commençant à déballer ce qu'il avait à manger silencieusement.
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Mer 1 Avr - 20:15
    Personne ne nous suit visiblement, alors que nous tentons tant bien que mal de nous frayer un chemin parmi le monde qui nous entoure. Tant mieux. Pour la première fois, je suis plutôt heureux de prendre un bain de foule, ça nous permet de nous fondre plus facilement dans la masse. L'entrée – ou plutôt la sortie, en l’occurrence – est maintenant à portée de vue. Nous nous y précipitons sans plus de cérémonie. Je constate qu'il fait nuit noire, maintenant que nous sommes dehors. Fiiiu, c'était moins une ! J'ai bien cru qu'on allait s'attirer des ennuis. Je m'apprête à faire une pause quand je me sens soudain tiré vers l'arrière, assez brutalement. Je n'ai pas même le temps de comprendre ce qu'il m'arrive qu'on m'attrape par le bras pour m'obliger à pivoter.

    Oh non mais je rêve ! Je n'ai même pas le temps de souffler que l'autre gorille me tombe dessus. Moi qui pensait être enfin tranquille, c'est loupé. Je fixe l'homme en face de moi, interdit, alors qu'il lève doucement son poing. Je suis dans de beaux draps, là. Je vais m'en prendre une, aucun doute là dessus. Je tente de me dégager, en vain. Je grimace légèrement, vraiment blasé. Je suis incapable de faire le poids, dans cette situation. J'espère sincèrement avoir suffisamment de réflexe pour esquiver son coup, parce que sinon je vais clairement le sentir. Et ça n'aura rien d'agréable.

    Je me sens brusqué, une fois de plus, sauf que là on me pousse au lieu de me tirer. Tout ça va beaucoup trop vite pour moi. Voilà que Masaki s'interpose entre nous, ce qui a le don de me surprendre et pas qu'un peu. Il est dingue ou quoi ?! Il espère faire quoi, avec cet espèce de grand machin aussi large que long ?

    Je ravale pourtant bien vite mes sarcasmes. Masaki évite le poing de son adversaire avec aisance, pour lui faire une clé de bras l'instant d'après. Un coup dans la côte, un autre dans le ventre, fin. J'hallucine. J'hallucine tellement que les mots me manquent. A vrai dire, je suis même bien trop choqué pour faire quoi que ce soit. Autant être franc, je ne m'attendais pas à une telle tournure. Mais pas du tout. Masaki m'empoigne le bras pour nous faire déguerpir. Mon regard s'attarde un instant sur la silhouette étendue au sol, suffocante. Autant dire qu'il ne nous embêtera plus, celui-là. On devrait peut-être appeler les secours quand même, non ? Je n'ai pas le temps de m'attarder davantage sur la question, les rues défilent sous mes yeux, mes pieds aussi, je suis un peu perdu, je ne sais pas où on est ni où on va. Notre course s'arrête finalement, nous sommes devant un restaurant. Je prend enfin le temps de respirer.

    Je fixe l'homme à mes côtés, qui entre dans le restaurant sans plus attendre. Je le suis en fixant son dos, toujours aussi halluciné. Ce mec est super dangereux en fait. Sérieux, c'est presque suspicieux d'avoir l'air aussi inoffensif et d'être pourtant capable de se battre de cette façon ! Ça devrait être interdit, non mais franchement, c'est limite flippant quand tu t'y attends pas. J'hallucine. Mais grave.

    La salle n'est pas tellement remplie pour un samedi soir, mais j'ai besoin d'air et suis donc reconnaissant envers Masaki de proposer d'emporter les plats. Il insiste pour m'inviter. Je me vois mal refuser. Petit un, vu le cadeau que je leur ai laissé au casino, il aurait refusé de toutes manières. Petit deux, je tiens pas à prendre le risque de le froisser, je souhaite rentrer chez moi en un seul morceau ! Hum, je déconne. Je le remercie et feuillette rapidement le menu avant de commander un bentô aux légumes, riz et poisson. Nous quittons les lieux aussitôt que nos repas nous sont servis.

    On s'installe à un coin d'herbe, un peu plus loin. L'air est doux, ça m'arrange plutôt bien étant donné que je n'ai pas de veste. Et je doute que Masaki ait eu beaucoup plus chaud que moi avec son kimono, si la température avait été plus fraîche. J'ouvre tranquillement la boîte de mon bentô pour en sortir mes baguettes.

    Merci pour le repas. Bon appétit.

    Sans plus attendre, je fourre une poignée de riz dans ma bouche. J'ai bien dis que j'avais la dalle, non ? C'est toujours le cas. Je suis pas non plus en train de m'empiffrer – je sais quand même me tenir un minimum – je dirai simplement que je ne me laisse pas vraiment le temps de respirer entre chaque bouchée. Et non, ça ne revient pas au même ! « On vous a déjà dit que vous cachez bien votre jeu ? » je demande entre deux bouchées. Ce n'est pas vraiment une question. Bien sûr qu'on a déjà dû lui faire remarquer, c'est tellement inattendu. Choquant, déstabilisant, déroutant.

    Non, je ne m'en remet toujours pas. Je suis pas vraiment habitué non plus hein, je suis pas vraiment du genre à attirer les ennuis. Je suis même plutôt du genre passablement transparent, généralement. La seule personne que je connaisse capable de se défendre – quoi qu'elle c'est plutôt pour attaquer – c'est ma sœur. Et encore, les gens la laissent faire parce que c'est une fille.

    Vous avez d'autres talents cachés ou vous avez fini de me surprendre ?

    Voilà que la situation m'amuse, désormais. Je ne peux m'empêcher de rire en repensant à ce pauvre homme – je ne peux que le prendre en pitié désormais, c'est finalement lui la victime dans cette histoire – et à la façon dont il s'est fait ridiculiser. Il doit sûrement rêver de nous écarteler, à l'heure actuelle. Ce qui me pousse à me poser une autre question. Je hausse les sourcils, soudain soucieux et me tourne à nouveau vers Masaki. Je bafouille alors, penaud : « Votre père risque de vous en vouloir, après ce qu'il vient de se passer. C'est à moi de vous présenter mes excuses désormais, je suis vraiment désolé. » Avec toute cette agitation, j'en avais presque oublié les raisons de notre fuite. Mes baguettes restent suspendues au dessus de mon bentô, comme si cette soudaine prise de conscience m'avait tout bonnement coupé l'appétit.
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Jeu 2 Avr - 20:30
Masaki était sous l'adrénaline et sous l'agitation de la situation. Il n'avait pas trop fait attention au jeune homme, tout ce qu'il voulait c'était vite fait sortir de là. Et que ce gorille ne vienne plus les embêter après tout Masaki était partie dans ce genre de soirée. Il ne voulait pas entrainer des gens ignorant dans ces histoires... surtout quelqu'un qui l'avait gentiment aider à son tour. Alors, qu'il n'était pas obliger... c'était marqué pour Masaki cela l'avait tellement touché il ne l'oubliera pas d'aussi tôt. Et il voulait se montrais reconnaissant, même si il sais que pour le jeune homme c'est rien. Pour notre Samouraï c'était énorme... personne avant lui avait eu le courage de tenir tête à un des hommes de son père pour le défendre. Ils se sont toujours dit que Masaki était un Samouraï et qu'il devait toujours se sortir des situations par lui-même sans que personne lui porte secours. Quoi qu'il en soit il était arriver à le mettre hors course sans trop l'amocher non plus.Masaki n'était pas fous, l'homme pourra pas trop rapporter à son père si il as pas de témoins ni de trace visible sur le corps. C'est pour cela que Masaki avait frapper à la hanche et au ventre enfin qu'il ne laisse pas de trace.

Bref, le japonais réussie à sortir de là son nouveau camarde puis l'entraina sans vraiment le laisser le choix à un restaurant. Ou il préféra commander des plats à apporter, il ne supporter pas le monde il ne se sentait pas bien. Pourtant il n'avait pas beaucoup de monde pour un samedi soir. Mais Masaki préféra manger en plein air, une fois installer le japonais pris sa salade sans un mot. C'était léger comme plat pour un soir mais, Masaki n'avait pas l'habitude de manger beaucoup. Trop habituer à mangé pas grand chose pour l'énergie qu'il dépense et cela depuis tout petit. Il entendit Kazuke lui remercier pour se repas, Masaki ne dit rien baissant sa tête prenant sa fourchette en plastique pour commencer à mangé. C'est alors, qu'il lui demanda si il ne savait pas bien cacher son jeu. Masaki redressa sa tête pour le regarder. Curieux de le voir poser une question c'était bien la première depuis qu'il l'avait rencontré. Mais pourquoi cette question ? Masaki réfléchie avant de lui répondre il ne voulait pas être maladroit et lui répondre à coter. Il pensa alors qu'il avait du voir subitement le comportement de Masaki changé littéralement et cela devait l'inquiéter. Masaki s'amusa à bouger sa fourchette entre ses deux doigts expliquant plongeant son regard dans le sien.


« Pas vraiment. C'est juste que quand je suis envoyer par mon père, j'ai une conduite à me tenir. J'ai des choses que je peux faire et ne peux pas faire. Si je me comporte pas comme il se doit, je fais perdre de l'argent à mon père et donc il ne sera pas content. Puisqu'il m'envoie pour récolté beaucoup d'argent grâce à moi, que ce soie par des services sexuel ou physique. Certain ne me trouve pas à leur goût alors ils préfères passé leur nerfs sur moi. Et je ne dois pas me défendre sous leur coups sinon je fais perdre de l'argent. En quelques mots, ont paye mon père pour que ces clients couches avec moi ou me frappe. Mais il as une règle importante que les clients ne doit pas oublier, si ils veulent coucher avec moi. Ils doivent me défier à un combat ou j'ai pas le droit de me défendre, je dois subir les coups sans jamais exprimer ma douleur. Si je préviens l'homme perd son argent et ne couchera pas avec moi, si il me fais exprimer ma douleur il as le droit de coucher avec moi. »

Il serra ses sourcils, c'était bizarre de savoir confier ainsi à un parfait étranger. Mais il avait besoin de se rassuré, à s'entendre écouter ont dirais juste une trainer ! Et il n'était pas ça, il se pencha un peu en avant le regard presque suppliant qu'il le crois.

« Mais j'ai encore jamais craqué et exprimer ma douleur ! Et sera pas demain que je craquerai ! »

Sous-entendant presque qu'il était vierge. Masaki se mordilla la lèvre du bas avant de baisser sa tête regardant sa salade, il s'amusa à poussé quelques feuilles vertes avec sa fourchette. Avait-il bien fais de se confier ? Personne pouvait le comprendre … c'est ce qu'ont lui avait dit. Alors pourquoi avait parler ? Peut-être qu'au fond voir qu'il semblait intéressait à lui l'avait touché. Et qu'il ne voulait pas se montré froid avec lui donc il voulait montré sa bonne foie en se confiant un peu ? Il entendit à nouveau Kazuke reprendre la parole lui demandant si il avait d'autre talent cacher, Masaki redressa la tête le regardant faisant un petit sourire. Il pencha la tête pour répondre à son tour.

« Et bien, je sais très bien manier l'art du katana. Je sais très bien faire la cuisine, j'aime beaucoup le sport. Mon métier est chirurgien cardiaque. Par ailleurs, je sais jouer de la guitare, piano, le violon et le shamisen. Et comme vous avez pu le voir ce soir, je maîtrise l'art-martiaux. »

Masaki le regarda rire, il ferma les yeux penchant sa tête sur le coter. Voilà qui était beaucoup mieux. Il sentait l'ambiance légèrement plus détendu cela lui fit vraiment plaisir, il se demander ce qui était là cause. Car il savait confier ? Ou tout simplement car Masaki peut être lui-même là avec lui. Il garda son petit sourire aux lèvres continuant de mangé, la fraicheur de la nuit s'engouffra à l'intérieur de son kimono. Refroidissant le corps du samouraï qui se mit à légèrement tremblait après quelques minutes. Mais il resta silencieux et ne se plaint pas comme il avait dit un peu avant.


Il avait supporter la douleur physiques sans exprimer ses émotions, il faisait justement la même chose en ce moment. Ses oreilles deviennes légèrement rouge par le froid, ses oreilles ou je précise que son oreille droite est percé de six boucle d'oreille. Trois en haut et trois en bas, ainsi qu'une sur l'autre oreille. Masaki entendit ensuite Kazuke reprendre une nouvelle fois la parole. Il semblait plus soucieux, le jeune japonais regarda l'homme les yeux écarquiller la bouche entre ouverte. Voilà encore une fois que Kazuke le toucha en plein cœur, oui Masaki était très sensible au fond de lui. Il fronça les sourcils papillonna un peu des paupières touché par sa demande détournant le visage. Il pouvait pas le laisser dans l'ignorance il devait parler... mais cela voudra dire se confier un peu plus. Mais Masaki refuser de le laisser soucieux. Il reposa son regard sur lui posant sa salade il le fixa dans les yeux.

« M'en vouloir ? Mon père ne m'en veux jamais mais me fais payer mes maladresses. Si quelqu'un ma vu frapper son gorille je risque de prendre cher. Mais rassurez-vous j'en est l'habitude... Que je paye je peux comprendre c'est mon père... Que vous vous payer les conséquences de mes erreurs je refuse. Et puis... si vous n'aurez pas menti pour essayer de me protéger... Vous serez pas là... Vous serez sortie de la salle le laissant me trainer dans le salon privé. Vous aurez pu manger dans un bon restaurant au chaud ou chez vous. Et non là sur l'herbe avec moi comme compagnie... »



Masaki baissa la tête. Il se mordilla la lèvre du bas, sa lèvre inférieur tremblait légèrement de froid.
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Ven 3 Avr - 3:04
    Je repose mes baguettes alors que l'homme assis en face de moi commence à m'expliquer les raisons de son comportement de ce soir. Je dois avouer que j'en reste médusé. D'après ce qu'il me raconte, son propre père semble tout bonnement se servir de lui pour mener à bien ses affaires. Et de la façon la plus cruelle qui soit. L'espace d'un instant, je ne peux chasser une image de Masaki, le corps violenté de multiples façons. Je me sens écœuré. Certes, je n'ai moi-même jamais été en très bon terme avec mon paternel et ce, même encore après sa mort. Nos relations étaient quasi inexistantes, c'est tout juste s'il daignait me décrocher un mot. Trop stricte, trop froid, trop égoïste. Je pense qu'il était déçu, par ma sœur et par moi. Datura, bien trop grande gueule, qui s'exprime à tord à travers, ne perd pas une occasion de montrer à quel point elle en a dans le pantalon. Elle prenait déjà tellement de place que c'est tout naturellement que j'ai appris à m'effacer, toujours caché derrière un livre ou mon ordinateur. Je crois que notre père s'attendait à autre chose. On a pris quelques baffes c'est vrai, pas souvent méritées d'ailleurs. Mais jamais notre père ne se serait permis de nous faire subir de tels sévices, ni à elle ni à moi.

    Quel jeu cruel, auquel cet homme adonnait son fils. Se faire battre ou se voir contraint de s'offrir à un parfait inconnu ? Tu parles d'un choix. Je me suis bien aperçu qu'il y avait quelque chose de bizarre tout à l'heure, lorsque nous étions au casino que l'homme de main est venu nous causer problème. Mais je n'aurai jamais cru un seul instant que cela puisse aller aussi long. Des restes de cicatrices, marquées sur une épaule me reviennent alors en mémoire. Cet homme est battu depuis longtemps visiblement. Je l'observe un moment, peiné pour lui. C'est alors qu'il reprend la parole, pour m'affirmer n'a réussi à lui arracher la moindre plainte, jusqu'à maintenant. Je souris faiblement. Il a beaucoup de courage.

    Ça ne doit être pas évident. Non, je dirais même que ça a l'air horrible. Pourquoi le laisser vous faire subir de telles atrocités ? Je veux dire, il doit bien y avoir un moyen de l'obliger à vous laisser tranquille, non ? je murmure du bout des lèvres.

    Je ne comprend pas. Il est capable de se défendre et même de se battre. Il a un métier, semble débrouillard et savoir s'occuper de lui-même. Alors pourquoi Masaki laisse-t-il son père avoir une telle emprise sur lui ? Peut-être a-t-il peur de lui. S'il a été battu par le passé, il est possible que Masaki soit tout simplement incapable de lui tenir tête, encore hanté par des souvenirs désastreux. Ou peut-être que son père le menace, après tout s'il n'éprouve aucun remord à servir ainsi son fils au plus offrant, qui sait de quoi cet homme peut être encore capable ?

    Je laisse un silence s'installer, ne sachant pas vraiment quoi dire. A supposer qu'il y ai vraiment quelque chose à dire dans une telle situation. Mon regard accroche la lumière d'un réverbère, à notre proximité. Je la contemple un moment, jusqu'à être trop ébloui pour pouvoir continuer. La température commence à descendre, Masaki semble avoir froid. Je n'ai pas de veste et ne suit malheureusement pas plus couvert que lui. On ferait sans doute mieux de ne plus trop tarder, avant que l'un d'entre ne tombe malade.

    Je referme la boîte de mon bentô sans y avoir retouché. Je dois admettre que pour l'heure, j'ai totalement perdu l'appétit. Masaki mange un peu de sa salade, visiblement plus à l'aise. Je préfère le voir comme ça, c'est moins gênant que de l'entendre s'excuser sans cesse. A nouveau, sa voix s'élève alors, tentant d’apaiser mes craintes, sans se douter que ses paroles ont alors pour effet de les attiser. Je me doute bien, que son paternel ne va pas laisser passer cet incident sans même lever le petit doigt. Je grimace. Et Masaki qui me remercie d'être intervenu en sa faveur. Je doute. Peut-être aurait-il été préférable pour lui que je me taise, finalement. Il ne semble pourtant pas voir les choses sous le même angle que moi, ce qui m'amène à ne plus vraiment savoir quoi penser de tout cela.

    Sérieusement, vous devriez réagir. Personne d'autre que vous ne devrait avoir le droit de vous dicter votre conduite. Même s'il s'agit de votre père !

    Je me mords la langue. Je m'en veux un peu, à vrai dire. Qui suis-je d'autre qu'un parfait inconnu après tout, pour me permettre ainsi de lui faire la morale ? « Je vous prie de m'excuser, je n'ai pas à me permettre ce genre de commentaire. » Ça ne me ressemble pas. Je suis plutôt agréable d'habitude ; ce que j'ai vu et entendu ce soir m'a pourtant suffisamment remué pour que je me permette ainsi d'exprimer mon point de vue. Je commence à me grignoter un ongle, un peu anxieux de ma maladresse. Je ferai sans doute mieux d'essayer de lui changer les idées, plutôt que de jeter de l'huile sur le feu. Je veux dire, quitte à ce qu'on lui fasse regretter son comportement au casino, autant s'assurer que Masaki passe une bonne soirée, non ?


    L'idée est bonne, je pense. Qui plus est, le temps continu de se rafraîchir. « On ferait mieux de rentrer, il commence à faire froid. » Je ne sais pas vraiment où lui proposer d'aller à cette heure-ci, il commence à se faire tard. Les boîtes de nuit, ce n'est vraiment pas mon truc alors je repousse tout de suite l'idée. Inutile de lui proposer d'aller chez moi, il risque d'y avoir confusion et je refuse de ne nous mettre à nouveau mal à l'aise tous les deux, alors que nous commençons tout juste à nous détendre. « Un bar ça vous irait ? » On pourrait aller boire quelques verres en effet. Il doit bien y avoir un pub dans le coin, suffisamment isolé pour ne pas être trop bondé et qu'on puisse y profiter du calme.

    Mes doigts s'amusent avec quelques herbes folles, les tordent, les enroulent, les cassent. Peut-être Masaki préféra-t-il rentré chez lui, maintenant qu'il est plus ou moins sûr d'avoir la paix jusqu'à demain. Ça m'emmerderait un peu, à vrai dire – sincèrement, je n'aurai rien de bien folichon à faire chez moi une fois rentré – mais peut-être a-t-il autre chose de prévu, ou simplement pas envie de s'éterniser davantage. Je ne tarderai pas à le savoir, de toutes manières.
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Lun 6 Avr - 19:09
Masaki savait confier à un parfait inconnu. Cela l'avait rendu un peu gêner, il ne savait pas ce qu'il lui avait pris. Pourquoi savait-il confier ainsi ? Surtout que maintenant son image de catin doit être encore plus affirmer. Franchement pour un chirurgien cardiaque ça la foutait mal. Alors, qu'il lui dit qu'il n'avait jamais craquer il vit un faible sourire du jeune homme qui le rassuré un peu. Peut-être qu'au fond il ne le voyait pas comme un catin. Il se mordilla la lèvre du bas l'entend commencer par lui dire que c'était pas évident. Même horrible, pour Masaki il en avait l'habitude il vivais ça depuis longtemps avec son père. C'était presque... normal pour lui qu'un père se comporte ainsi avec son fil. Car, pour lui il ne connais que ça. Quand il lui demanda si il avait aucun moyens à l'obliger à qu'il le laisse tranquille. Masaki baissa la tête en se mordillant la lèvre du bas, c'était son père il ne se voyait pas rebeller contre son père. Il lui faisait déjà assez honte à cause de son choix de son travail et son attirance masculine. Il ne voulait pas rajouter cela...

Un grand silence pris place entre les deux hommes. Masaki ne savait pas quoi dire, et surtout au sujet de son père. Il savait qu'au fond il était majeur et ne devrais pas se laisser marcher sur les pieds par lui. Mais, il ne pouvait pas s'empêcher d'avoir un fond l'espoir que si il fait ce qu'il demande. Son père sera fier de lui, peut-être qu'il gagnera un peu d'affection et d'amour de sa part. Même si quelques part Masaki savait au fond de lui qu'il n'utiliser pas la bonne méthode pour avoir de l'affection de la part de son paternel. Kazuke repris la parole au bout d'un certain moment, Masaki redressa la tête ne touchant plus à sa salade depuis un bon moment. Il reviens sur le tapis en disant qu'il devait pas se laisser faire et qu'il devrait laisser personne dicté sa vie à part lui-même. Masaki se mordilla la lèvre du bas il pencha la tête sur le coter il ne pu s'empêcher de lui avouer.

« Je sais que … que je devrais pas. Mais, je .. je suis d'une famille de Samouraï l'honneur est très important dans notre famille. Et désobéir à son paternel serais déshonorerai ma famille, mon nom et mon père. J'ai déjà assez souiller ma famille avec certain de mes choix. Je ne pourrai continuer d'avantage à les déshonorez... Et puis au fond j'espère peut-être que si je fais ce qu'il veut. Je pourrais remonter dans l'estime de mon père. »

Une fois de plus Masaki savait justifié devant l'inconnu. Quelques choses qu'il ne fait pas souvent, trop habituer à ne pas pleurnicher sur son sort. Pourtant c'est exactement ce qu'il avait fait avec ce jeune homme. Il avait trouver qu'il n'avait pas arrêter de se plaindre. Il devait être tellement pathétique, il le regarda se ronger un ongle. Ha ! Cette vilaine manie qui ruine des jolies mains ! Tout de suite il ne pu s'empêcher il lui attrapa le poignet de sa main froide en disant :

« Non non non ! Faite pas ça voyons ! Vous allez abimez vos jolies doigts. Allons, si vous êtes gêner pour ce que vous venez de me dire rassurez-vous. Je ne l'ai pas pris mal, car je reconnais que vous avez raison. Mais, écoutez je... je suis comme ça. J'arrive pas à lui dire non quand il viens, j'essaye mais j'arrive pas. » Il marqua une pause pour sortir un mouchoir de son kimono. Il lui essuya le doigt doucement la tête baisser il ne le regarda pas. « Mais cessons d'en parlez s'il vous plaît. J'ai pas vraiment à me plaindre, maintenant je suis bien. Je fais le métier que j'aime, j'ai un petit chien husky qui est beaucoup pour moi, une maison... de quoi manger dans mon frigo. J'ai pas vraiment à me plaindre. Et je vous pris de m'excuser de m'avoir afficher de ma situation ainsi devant vous. »

Masaki entendit par la suite le jeune homme lui dire qu'il fallait mieux rentré. Il hocha la tête lâchant la main du jeune homme, il recula pour commencer à ramasser ce qu'il avait sortie et le mit dans le sac ce qu'il n'avait pas mangé. Puis mit à la poubelle les déchets, il entendit Kazuke proposer de boire un verre dans un bar. Il fit un petit sourire, le regardant s'amuser avec quelques brins d'herbe. Il avait l'impression que le jeune homme avait un peu de crainte de la réponse du samouraï.


Voulait-il encore passé du temps à sa compagnie ? Masaki fit un grand sourire il s'approcha de lui, prenant ces poignets doucement pour le redresser en disant. « Allons-ci il doit avoir un bar pas très loin. » Ces mains était gelé il avait vraiment très froid. Mais Masaki ne montra aucune émotion, il avait juste un peu son nez rouge et ces oreilles ainsi que ces mains froides. Il pris le sac et tira Kazuke vers un bar plutôt calme ou il n'avait pas trop de monde, il y pénétra et préféra conduire le jeune homme à une table au fond du bar. Là il avait moins de monde et ou il sera plus tranquille, il laissa le serveur arriver et indiqua ce qu'il voulait prendre. Du saké... il fallait juste qu'il ne boit pas trop ce soir. Car, il ne tenait pas bien l'alcool.
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