Nadeshiko Tampopo Ueda alias Menma
« Un esprit sain dans un corps sain! »
| ✘ Name; Ueda.✘ First Name; Nadeshiko Tampopo.✘ Age; 38 ans.✘ Sexuality; Asexuel.✘ Preference; Seme.✘ Anything else ?; Tout le monde l'appelle Menma.Behind the computer; ✘ Name; Célie.✘ Surname ?; Lilith.✘ Age; 19 ans.✘ Gurl or dude ?; G.✘ Presence; 9/10.✘ Anything else ?; -✘ Personnage sur l'avatar; Tsumugu Kinagase de Kill la Kill.✘ Code;
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History
Ses parents avaient eus le coup de foudre, à l'époque, se croisant dans le train. Lui était monteur automobile, elle était couturière. Ils se sont vite mariés, profitant de leur pleine de jeunesse et de leur amour si passionnel, sans penser au lendemain. Il avait toute la vie devant eux, pourquoi se presser?
Cependant, plus le temps passait, plus ils désespéraient. Leur envie d'avoir un enfant grandissait alors que celui-ci tardait à arriver. La femme, âgé de plus d'une trentaine d'années n'arrivait tout simplement pas à enfanter. Dans la société japonaise, être mariée à son âge était une bonne chose mais ne pas avoir d'enfants soulignait un problème. Mais ce fut après plusieurs essais et consultations chez des spécialistes que le couple réussit enfin à procréer.
Que ce soit une fille ou un garçon, la future mère voulait l'appeler
Tampopo, le pissenlit. Ils gardèrent d'ailleurs la surprise du sexe de l'enfant pour l'accouchement. Mais celui-ci ne se passa pas comme prévu : après vingt-deux heures de souffrance, le nouveau petit garçon pu naître alors qu'à ses premiers cris, sa mère rendait l'âme dans un dernier soupire. Son père dévasté, décida d'appeler son fils comme sa femme,
Nadeshiko, reportant l'envie de la femme en second prénom.
Nadeshiko grandit au départ au crochet d'une nourrice, son père étant encore trop affecté par la mort de son aimée. Mais heureusement, un jour, il se reprit en main et éleva correctement son jeune petit garçon qui était beau comme une fille.
Ce nom lui allait à merveille, pensait son père.
Ils déménagèrent entre garçons et l'enfant grandit plutôt bien. Il était sérieux, poli et assez fort malgré son corps frêle. Son père avait même cru qu'il allait être aussi fragile que sa mère, mais en l'inscrivant à des cours de boxe et de karaté, ses craintes furent vite balayées.
Arrivé au lycée, Nadeshiko semblait ne plus grandir, condamné à rester dans ce corps freluquet. Mais le garçon semblait intéresser de plus en plus au combat, à la force, si irrationnelle pour le père, qui craqua seulement quelques années après en l'envoyant quelques mois en pension militaire, comme son fils le souhaitait.
Et quel choc. Il revint, grandit et baraqué à seulement quinze ans, en dépassant le mètres quatre-vingt dix et les cent kilos de muscles purs. Il avait même bronzé fortement, et ça lui était resté. Son père prit à nouveau peur de ce nouvel enfant, mais encore une fois, l'attitude sérieuse et sans reproches de son fils le rassura. Depuis ce jour là, il ne cessa de l'appeler
Menma, la pousse de bambou, grandissant à allure folle et si résistante.
Menma eut ses examens haut la main et décida de partir au service militaire sitôt le lycée terminé. Son père l’encourageait à faire ce qu'il voulait, et c'était son choix. Cependant, après trois ans à l'étranger, en Amérique plus précisément, pour se parfaire, il retourna au Japon en découvrant que son père avait péri dans un accident de la route.
Il y eu des funérailles appropriées et la totalité du modeste héritage de ses parents lui revint : des livres sur la cuisine et la couture, de sa mère par exemple. Tentant des études à l'université pendant plusieurs mois, il apprit, vite, à cuisiner, à tricoter, à couder, à bricoler, et gagna au passage ses derniers centimètres pour atteindre sa taille finale.
Les études ne lui convenait absolument pas. Il continuait alors son service militaire jusqu'à ses trente trois ans avant de revenir au Japon. Il avait vécu la guerre, la famine, la pauvreté mais avait économisé un bon paquet d'argent pour vivre convenablement durant les dix dernières années à venir, avec son statut de mercenaire et de soldat de la paix.
Il mit un sacré temps avant de pouvoir enfin s'insérer dans la vie active. Au début, il faisait des dépannage en tout genre, du bricolage, ce genre de choses. Puis, il avait vaguement dévié à assistant maternelle, une jeune puéricultrice lui avait demandé son aide pour les travaux dans l'enceinte de la garderie et avait voulu le garder avec lui, puisque les enfants l'aimaient bien.
Comme les mères n'étaient pas d'accord, il parti donc pour se trouver un boulot de docker, sécurité en boîte de nuit, assez recherché mais pas si bien payé. Au moins, ça, il savait faire. Il vivait pleinement, sainement, sans jamais cesser les activités physiques et les dons généreux.
© FICHE CRÉÉE PAR REIRA DE LIBRE GRAPH'